Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Entre février 1933 et mars 1953, Colette écrira 264 lettres à Yvonne Brochard (relieuse d'art et professeur) et Thérèse Sourisse. Les deux femmes...
Lire la suite
14,20 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 23 avril et le 26 avril
En librairie
Résumé
Entre février 1933 et mars 1953, Colette écrira 264 lettres à Yvonne Brochard (relieuse d'art et professeur) et Thérèse Sourisse. Les deux femmes décident, par choix, par goût de la campagne et des animaux, de devenir fermières ; les " petites fermières " de l'Etoile Vesper. La Colette de cette ample correspondance n'est pas seulement, loin s'en faut, la femme de lettres, mondaine et adulée. On la découvre au quotidien, sous son vrai visage pragmatique, impétueuse et caustique, mais aussi tendre et émouvante, pleine de verve lorsqu'elle croque, d'un trait vif et rapide, le portrait de personnalités comme jean Cocteau ou Edith Piaf. Cette correspondance nous éclaire également sur un secret important : " Pour moi, vous êtes toutes deux debout sur le seuil d'un royaume qui m'appartint autrefois et que vous me rendez quand vous parlez de lui. " Les Petites Fermières auront joué un rôle capital, tant au présent que dans les souvenirs et l'imaginaire de l'auteur.