Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
V
Véritable vade-mecum de ceux qui se décident à prendre leur santé V en main et à mener - à titre préventif ou en tant que patients - un combat...
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Résumé
V
Véritable vade-mecum de ceux qui se décident à prendre leur santé V en main et à mener - à titre préventif ou en tant que patients - un combat confiant et lucide contre le cancer, cet ouvrage répertorie et explicite l'ensemble des stratégies envisageables. Stratégies classiques ou plus récentes, voire en cours d'évaluation, telles les stratégies Beljanski ; mais aussi, au nom du libre choix thérapeutique, stratégies méconnues ou marginalisées par les tenants de la stricte orthodoxie chimio-pharmaceutique, mais largement plébiscitées par les patients les plus lucides, telles l'homéopathie ou les stratégies nutritionnelles, voire micro-immunologiques. D'où l'édition de ce texte dans la collection " guérissons interdites et survivants illégaux ", tant il est vrai que les progrès médicaux les plus décisifs de l'histoire de la médecine furent longtemps frappés d'interdit avant d'être enfin reconnus et mis à la disposition du public. Ainsi l'asepsie " redécouverte " par Pasteur un quart de siècle après les vains combats du malheureux Semmelweis, ou encore l'antibiothérapie initiée par Fleming et ignorée pendant vingt ans au prix d'innombrables décès qui auraient pu être évités. Alors, pourquoi nos contemporains se refuseraient-ils les innovations d'aujourd'hui et le bénéfice de stratégies déjà fonctionnelles, mais qui, victimes de la léthargie des mandarins de la médico-pharmacie, ne seront mises à la disposition du public que dans dix ou vingt ans ?