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On connaît la fin d'Électre : " Cela a un très beau nom, cela s'appelle l'aurore ". Giraudoux passe en effet pour le chantre des origines, des commencements... c'est pourquoi il a paru opportun d'étudier la façon dont " commencent " ses oeuvres, en particulier ses récits. Mais rien ne sert de commencer ; il faut finir à point... Or la fin est précisément ce que l'auteur élude, retarde, peine à exécuter ; dès.
lors, bien souvent, les fins promettent des recommencements infinis...