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L’humour un peu particulier et parfois un peu lourdingue de l’auteur, fait qu’il m’a été difficile de rentrer dans le roman, surtout que je suis une très grande fan d’Harry Potter, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai choisi ce livre de Gordon ZOLA.
Pour une lecture de vacances, ça passe bien, pas besoin de se prendre la tête. Il y a beaucoup de références diverses: mythologiques, à Harry Potter (logique)… Les jeux de mots sont très récurrents y compris dans les noms des personnages, ces jeux de mots ne sont pas toujours compréhensibles à la première lecture. Ce
roman est vraiment à prendre au second voir même au troisième degré, il ne faut pas prendre l’auteur au sérieux sans pour autant le discréditer, il est donc difficile de trouver un juste milieu.
Le roman se lit facilement, même entrecoupé, à voir ce qu’il en est du reste de la sage des Aventures de Guillaume SUITAUME, qui sont toutes des parodies.
La fin est un peu bizarre, il y a trop de choses laissées en suspend: on ne sait pas ce qu’il advient de l’assistante de SUITAUME, ni de M. HONNERY…
Cette biographie se lit vite, elle est écrite en gros caractères sur du papier un peu « plastifié » donc qui subit les reflets de la lumière, elle est très bien illustrée par de nombreuses photos notamment des différents avions créés par la société DASSAULT ou des photos de Marcel DASSAULT lui-même. Bref, vous l’aurez compris, ce n’est pas de la grande littérature mais, ça n’empêche pas de prendre beaucoup de plaisirs à la lire. Elle est très intéressante.
Ainsi, cet ouvrage raconte la vie de Marcel DASSAULT de sa naissance jusqu’à son entrée à l’Assemblée
Nationale, en passant par son séjour dans le camp de Buchenwald. En revanche, à aucun moment n’est cité son changement de nom, ni les raisons qui l’y ont poussé… Effectivement, il s’appelait Marcel BLOCH, ce nom raisonnait trop avec « Boch » et pouvait poser quelques problèmes au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, c’est pourquoi il a trouvé plus judicieux de changer de nom.
Cependant, il y a un point négatif à cette autobiographie, le prologue écrit par Serge DASSAULT, résume parfaitement la vie de son père, il cite tous les éléments importants de sa vie et donc de l’œuvre. On pourrait lire uniquement le prologue qui est l’équivalent d’un très bon résumé.
Cette œuvre nous permet d’en apprendre d’avantage sur Marcel DASSAULT, de découvrir l’homme « social » qui se cachait derrière le grand homme. Il a fait beaucoup pour le bien-être de ses employés (ces derniers avaient déjà des congés payés avant que ceux-ci soient instaurés en France puis, ces mêmes congés furent toujours d’une durée supérieure à celles des congés payés « classiques », et croyez moi ou non, je peux vous assurer que c’est toujours le cas…). En tant que député, il a mis en place un projet de lois permettant et/ou facilitant l’accès à la propriété pour la classe moyenne.
Retour dans le passé!
Quand, le Petit -un des frères de Benjamin MALAUSSENE- refuse de manger tant qu’il n’aura pas son papa, Benjamin nous replonge dans le passé. Il va nous raconter comment le père du Petit est entré dans leur vie et dans quelles circonstances ce dernier a été conçu.
Cette histoire contient un petit côté surnaturel, ce qui est nouveau dans la saga mais, pas désagréable.
Ce tome aussi est assez court (90 pages) et même dans le passé, on retrouve tous les personnages qui font le charme de la Saga Malaussène.