Palimpsestes N° 23

Traduire la cohérence

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 BOISSEAU MARYVONNE, - Palimpsestes N° 23 : Traduire la cohérence.
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Sommaire

  • PRESENTATION, MARYVONNE BOISSEAU
  • JEAN PIERRE RICHARD, L'EPREUVE DU RYTHME : LE "POEME" D'HENRI MESCHONNIC FAIT-IL CE QU'IL DIT ? BRUNO PONCHARAL, LA TRADUCTION DE L'ANAPHORE DANS LA PROSE DE PENSEE
  • FREDERIQUE BRISSET, TRADUIRE LA COHERENCE DIALOGIQUE AU CINEMA : LES CHARNIERES DE DISCOURS DANS LE DOUBLAGE DES FILMS DE WOODY ALLEN
  • ISABELLE GENIN, THE CATCHER IN THE RYE ET L'ATTRAPE-CŒURS : ORALITE, COHERENCE ET INCOHERENCE
  • NATHALIE VINCENT-ARNAUD, DE GHOSTS D'EVA FIGES (1988) A SPECTRES DE NANCY HUSTON (1996), OU LA TRADUCTION A L'EPREUVE DU DISCONTINU
  • MARIE NADIA KARSKY, TRADUIRE LA VIOLENCE DE KING LEAR
  • BERNARD HOEPFFNER, L'OMBILICALITE DU TRADUCTEUR

Caractéristiques

  • Date de parution
    10/12/2010
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-87854-506-7
  • EAN
    9782878545067
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    168 pages
  • Poids
    0.295 Kg
  • Dimensions
    15,8 cm × 23,9 cm × 1,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de BOISSEAU MARYVONNE,

Maryvonne BOISSEAU est professeur de linguistique et de traduction à l'Université de Strasbourg. Elle traduit aussi la poésie/Elle est membre de l'équipe " Fonctionnements discursifs ", composante de l'UR Linguistique, Langue, Parole (EA 1339 LiLPa). Ses recherches portent sur la construction du sens et articulent trois disciplines : la linguistique, la traduction et la poésie. Elle est notamment spécialiste du poète-traducteur irlandais Derek Mahon. Frédérique BRISSET, agrégée d'anglais, enseigne à l'Université d'Orléans. Elle rédige actuellement une thèse intitulée Cinéma d'auteur et doublage : le paradoxe Woody Allen, sous la direction de Christine Raguet. Elle a publié plusieurs articles sur des aspects linguistiques de l'oeuvre de Woody Allen ainsi que sur son humour. Elle est spécialiste de cinéma et d'études américaines. Isabelle GÉNIN est maître de conférences à l'université Sorbonne nouvelle - Paris 3 où elle enseigne la traduction. Elle est l'auteur d'une thèse sur les traductions en français de Moby-Dick, de Herman Melville, sous la direction de Paul Bensimon. Membre du centre de recherche TRACT (Centre de Recherche en Traduction et Communication Transculturelle, Paris 3), elle s'intéresse principalement à la littérature américaine contemporaine et à sa traduction en français. Ses recherches en stylistique et stylistique comparée anglais-français portent plus particulièrement sur la traduction de la voix et de l'agencement syntaxique en tant que procédé stylistique ainsi que sur les effets de normalisation du texte au cours du processus de traduction. Bernard HOEPFFNER est traducteur de l'anglais et du français. Parmi les très nombreux auteurs qu'il a traduits figurent Robert Burton, Thomas Browne, Philip Sydney, Walter Raleigh, James Joyce, Herman Melville, Robert Coover, Gilbert Sorrentino, George Orwell, Mark Twain, Martin Amis, Jacques Roubaud, Pierre Senges. Il est également l'auteur de Guy Davenport, l'utopie localisée (Belin, Voix américaines, 1998) et de Portrait du traducteur en escroc (à paraître chez Verdier). Marie Nadia KARSKY est maître de conférences à l'université Vincennes Saint-Denis - Paris 8 où elle enseigne la théorie et la pratique de la traduction. Elle est l'auteur d'une thèse sur les lectures féministes des premières comédies de Shakespeare, sous la direction d'Armand Himy. Ses recherches en cours portent sur la traduction du comique de Molière en anglais, ainsi que sur la place accordée au corps de l'acteur dans la traduction théâtrale des textes de Molière et Shakespeare. Bruno PONCHARAL est maître de conférences à l'UFR d'études anglophones de l'université Denis Diderot-Paris 7, où il enseigne la traduction et la linguistique anglaise. Il est également traducteur, notamment dans le domaine des sciences humaines (sciences politiques et histoire). S'appuyant sur cette pratique et les outils de la linguistique énonciative, il cherche à montrer comment la traduction opère nécessairement des déplacements dans la pensée, qui ne sont pas le seul fait des limitations supposées du traducteur ou des difficultés de traduction des concepts, mais, plus profondément, la conséquence de modes divergents de construction du sens inhérents à la " forme interne " propre à chaque langue. Il a, par ailleurs, participé au Social Science Translation Project, un projet international visant à promouvoir la formation de traducteurs dans le domaine spécifique des sciences humaines et sociales. Jean-Pierre RICHARD a traduit des romanciers de l'Afrique australe (Miriam Tlali, Alex La Guma, Adam Shafi, Chenjerai Hove, Njabulo Ndebele...), ainsi que du théâtre anglophone (Shakespeare, Suzan-Lori Parks, Woody Allen, Sebastian Barry, Kari Mainwaring...). Il a dirigé le n° 44 des Cahiers Charles V, La traduction littéraire ou la remise en jeu du sens (Université Paris-Diderot - Paris 7, 2008). Nathalie VINCENT-ARNAUD est professeur à l'Université de Toulouse 2 - Le Mirail. Elle y enseigne la stylistique, la traduction et la musique. Ses domaines de recherche sont l'analyse stylistique, la traduction ainsi que les relations entre les arts (musique et danse). Elle prépare actuellement un petit ouvrage sur les mots de la musique dans l'analyse du texte littéraire.

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