Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
"Au matin tu peux dire le nom de qui t'habite et monte ainsi à ton assaut avec ses remugles d'eau stérile et ses cheveux froids : c'est la mort." Le...
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Résumé
"Au matin tu peux dire le nom de qui t'habite et monte ainsi à ton assaut avec ses remugles d'eau stérile et ses cheveux froids : c'est la mort." Le crabe, on l'aura compris, c'est la maladie. Ce qu'on appelle sa vie, c'est la montée lente et inexorable du dérèglement pendant un drôle de printemps sec et impitoyable. Sa mort, c'est "trithérapie, chimiothérapie puis radiothérapie". Lyrique et incantatoire parfois, le récit invente la vie, la vraie, celle des mots rédempteurs et des forces arrachées au royaume des songes. Cynique, souvent désopilant, il règle quelques comptes, rappelle quelques vérités, et convainc bien vite que Vincent Borel, trente-cinq ans, écrivain et journaliste, n'a rien perdu de sa verve et de son talent depuis Un ruban noir.