Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
On trouve dans la littérature juive classique appelée "midrash", des passages qui ressemblent étrangement aux narrations évangéliques. Les Evangiles...
Lire la suite
25,00 €
Neuf
Définitivement indisponible
En librairie
Résumé
On trouve dans la littérature juive classique appelée "midrash", des passages qui ressemblent étrangement aux narrations évangéliques. Les Evangiles seraient-ils un prolongement du midrash juif ? En approfondissant cette hypothèse, le présent essai montre qu'il est possible d'expliquer de nombreux passages des Evangiles par leurs parallèles dans la littérature juive classique. Cet essai propose une nouvelle lecture des Evangiles, et aboutit aux conclusions suivantes : le Nouveau Testament est un texte de même nature que le midrash juif ; le Nouveau Testament fonctionne en permanence sous le régime de la double entente ; iI traite de l'eschatologie et ne peut fournir d'assise à aucun élément historique ; tous ses matériaux sont déjà présents dans le midrash juif ; les nombreuses péricopes (unités narratives) qui composent les Evangiles peuvent être réduites à un très petit nombre de péricopes génériques ; les guérisons forment le véritable noyau des Evangiles ; les récits de la naissance et de la Passion sont secondaires ; ces guérisons sont une métaphore de l'entrée des païens dans l'alliance ; le thème de l'allégement de la Loi est un thème central des Evangiles, iI est un prolongement de débats internes au judaïsme, ainsi que l'atteste le midrash sur le livre de Ruth ; le texte du Nouveau Testament produit ses narrations selon un véritable cahier des charges, son lexique et sa rhétorique obéissent à un code relativement rigide ; le Christianisme s'est édifié sur une lecture univoque de textes à double entente. Après trois traductions majeures, et la perte de la clé de lecture midrashique, le lecteur actuel n'a aucun moyen de revenir au sens originel.