Un coup d'Etat Nietzschéen - Poche

Hervé Denès

(Traducteur)

,

Jackie Reuss

(Traducteur)

Note moyenne 
Hakim Bey - Un coup d'Etat Nietzschéen.
Là où finit l'état, là seulement commence l'être humain qui n'est pas superflu : "Une force conduite par Mavrocordato attaqua le palais, avec l'intention... Lire la suite
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Résumé

Là où finit l'état, là seulement commence l'être humain qui n'est pas superflu : "Une force conduite par Mavrocordato attaqua le palais, avec l'intention de capturer le colonel von Hartsheim avant le petit-déjeuner... Une force plus importante, conduite par Elias, était chargée de prendre d'assaut le quartier général de la police... Cette troupe disposait des meilleures armes que les Scythes avaient pu trouver, dont une mitrailleuse à trépied achetée en contrebande...
Deux hommes armés de revolvers (l'un d'eux était Schlamminger, le philologue allemand) furent envoyés pour s'emparer du bureau de poste... Quelque part au fond des marais, à l'aube, un petit détachement de Coumans, commandés par le khan en personne, coupa les fils télégraphiques qui reliaient Coumantza au reste du monde... Cette action sauva indéniablement le coup d'Etat qui, par ailleurs, se déroula assez mal".

Caractéristiques

  • Date de parution
    23/04/2014
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-915694-71-0
  • EAN
    9782915694710
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    142 pages
  • Poids
    0.13 Kg
  • Dimensions
    10,5 cm × 17,5 cm × 1,2 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Hakim Bey

Peter Lamborn Wilson, né en 1945 et plus connu sous le pseudonyme de Hakim Bey, a été qualifié de bouffon mystificateur, de pseudo-historien, de cybergourou fumeux, de vieux pervers, de soufi bondieusard, de rentier pantouflard, d'esthète de salon et certes il est un peu tout cela, et pire. Mais pas seulement, car le bougre est aussi un poète subversif, un littérateur inspiré, un critique anarchisant de la modernité marchande, un piratologue enthousiaste et un uchroniste farceur.
Historien très partial, il l'est forcément, comme tous ceux qui explorent l'histoire dite "secrète" (c'est-à-dire peu ou prou occultée par l'historiographie académique, laquelle n'est pas moins biaisée que la mémoire des rebelles) pour en tirer des exemples attestant de la continuité multiforme et de l'universalité des révoltes sociales et intellectuelles. Et c'est en adepte du "détournement", cher aux situationnistes, qu'il applique cette technique au récit historique, frôlant parfois très délibérément le canular.
Fasciné par l'Orient compliqué et abusant des vertiges psychotropes, il se montre volontiers mystique, quoique avec beaucoup de syncrétisme métaphysique. Il n'en est pas moins libertaire, se référant par prédilection aux philosophes (Bakounine, Stirner, Nietzsche...) les plus hostiles aux vieilles idoles. Et c'est en anarchiste assumé qu'il a mis sa curiosité et son érudition, qui ne sont ni minces ni banales, au service de la conscience sociale critique de son temps autant que des interprétations parfois tortueuses qu'il échafaude malicieusement tantôt brouillant les pistes, tantôt jetant quelque lumière sur les pénombres du "monde civilisé".
L'utopique apologue tissé dans les pages qui précèdent (et dont la clé se trouve dans les deux citations par lesquelles il s'ouvre) est d'abord prétexte à souligner l'irréfragable dimension subversive des écrits de Nietzsche mais son auteur y esquisse aussi, corrélativement, les précieuses convergences que l'autonomie, fût-elle temporaire, d'une zone se détachant de la mégamachine peut faire naître entre destins individuels et aspirations communautaires.

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