Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ne cherchez pas dans vos manuels de littérature ! Tubutsch a piqué une tête dans son encrier à moins qu'il ne se soit pendu à l'heure de sa naissance...
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Ne cherchez pas dans vos manuels de littérature ! Tubutsch a piqué une tête dans son encrier à moins qu'il ne se soit pendu à l'heure de sa naissance avec son cordon ombilical. De toute façon comme il avait décidé de ne plus écrire qu'au crayon et quand on sait que les âmes distinguées sortent leur gomme dès qu'on leur parle de culture... Tubutsch fut la première ombre que perdit Albert Ehrenstein, un des poètes les plus amers de la langue allemande, un Schlemihl un rien schopenhauerien qui s'égara un moment dans la Vienne de Schiele et de Kokoschka pour acheter des saucisses expressionnistes à la pâle Tekla aux boucles blondes...