Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Depuis le début du IVe siècle, il existait en Afrique deux églises rivales. Peu après la persécution de Dioclétien, des évêques numides avaient...
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Résumé
Depuis le début du IVe siècle, il existait en Afrique deux églises rivales. Peu après la persécution de Dioclétien, des évêques numides avaient provoqué un schisme à Carthage et s'étaient séparés de l'Eglise catholique, dont ils accusaient certains membres d'avoir remis les livres des Ecritures aux persécuteurs. Aux catholiques, devenus le " parti des traditeurs ", s'opposaient les schismatiques, ou " parti de Donat ". Le Traité contre les donatistes, rédigé vers 364-367 par Optat, évêque catholique de Milève, est une réponse à l'ouvrage de Parménien, évêque donatiste de Carthage, à une époque où les schismatiques se montrent particulièrement combatifs. Ce texte capital éclaire non seulement l'histoire de l'Afrique du Nord romaine, mais aussi celle des doctrines chrétiennes. L'alternance des thèmes traités révèle toute la richesse d'une œuvre dans laquelle l'auteur, se faisant tour à tour historien et théologien, élabore une doctrine catholique des sacrements et de l'Eglise, qui annonce l'essentiel de la théologie augustinienne en ce domaine. Dans sa lutte contre les donatistes toujours actifs de son temps, Augustin poursuivra l'œuvre d'Optat.
Le Traité contre les donatistes n'avait jamais été traduit en français, et le dernier éditeur n'avait pu disposer de l'un des manuscrits importants de l'œuvre. Le texte latin de la présente édition a donc été renouvelé par rapport aux éditions antérieures, et le problème soulevé par les ajouts au livre VII en est éclairé.