Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
S'il existe des ouvrages critiques sur Shakespeare et la musique, ils portent, le plus souvent, sur la musique incidentale et plus particulièrement sur...
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Résumé
S'il existe des ouvrages critiques sur Shakespeare et la musique, ils portent, le plus souvent, sur la musique incidentale et plus particulièrement sur les chansons. En général, ces ouvrages ne tiennent pas vraiment compte des pratiques dramatiques héritées du théâtre du Moyen Âge, et de leur évolution au cours du XVIe siècle. Shakespeare non seulement reprend ces traditions, mais inclut l'élément musical de façon originale, en s'inspirant des techniques de composition musicale de son temps. L'analyse de la structure musicale du Songe d'une nuit d'été nous permet de réévaluer l'écriture dramatique de Shakespeare. Le langage de la musique fonctionne, bien sûr, comme une métaphore, mais il permet aussi d'aborder tous les thèmes essentiels de la pièce, en mettant à notre disposition une nouvelle grille de lecture. Ainsi, le thème de la discordia concors, souvent mentionnée par la critique, trouve son véritable fondement dans la construction polyphonique de la pièce. Contrepoint et imitation y jouent un rôle capital et entraînent avec eux leur cohorte de dissonances, fausses relations, altérations, dans une architecture sonore qui
reste, malgré tout, toujours consonante. Ouvrage publié avec la participation financière du CERAN, Université Lumière-Lyon 2.