Résonances du sacré

Les découvertes étonnantes que j'ai faites lors de mes études sur la Cathédrale de Strasbourg m'ont ouvert une nouvelle voie de recherche d'autant plus passionnante qu'elle était imprévisible. J'ai pris conscience, à Strasbourg, que les temples très anciens, enfouis sous d'autres temples ou églises plus récents, ne fonctionnaient pas avec le même système qu'eux. Pour puiser l'énergie tellurique, nos chapelles ou cathédrales se servent des rayonnements des métaux tels qu'Or, Argent, Cuivre, Fer et Nickel.
Les temples multimillénaires, eux, utilisent les rayonnements de métaux très rares comme le Platine, le Lithium, le Sélénium ou le Palladium. En vingt-cinq emplacements, sur Terre, ces temples possèdent une étoile à cinq branches, virtuelle mais magistralement énergétique, imprimée dans l'architecture par nos prédécesseurs, avec leur seule force spirituelle. Une vingt-sixième étoile fonctionne sans le support d'un lieu de culte préalable.
Une fois de plus l'expérience montre que nos ancêtres n'étaient pas ce que l'on nous dit. Ils savaient beaucoup plus de choses que nous. Cinq de ces lieux étoilés sont des portes cosmiques directes. Les vingt et une autres possèdent une étoile dite magique parce qu'elle correspond à un ensemble particulier de nombres, c'est-à-dire à une vibration unique qui est note de musique et couleur. Cette propriété est voulue parce qu'elle est utile : on ne fait rien sans raison [...]