Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Avril 1975. François Ponchaud, missionnaire français vivant au Cambodge depuis une dizaine d'années, assiste à l'évacuation totale de Phnom Penh...
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Avril 1975. François Ponchaud, missionnaire français vivant au Cambodge depuis une dizaine d'années, assiste à l'évacuation totale de Phnom Penh après sa " libération " par les Khmers rouges. Nul ne sait ce que donnera la " révolution radicale " annoncée par les vainqueurs, mais après les bombardements américains et la corruption notoire du régime de Lon Nol, elle est regardée avec une certaine sympathie par l'opinion publique occidentale. Aussi, quelques mois plus tard, lorsque François Ponchaud rendra publics les témoignages inouïs qu'il a rassemblés sur ce véritable cauchemar, il se heurtera à l'incrédulité générale. Ce n'est qu'au terme d'une lutte acharnée qu'il parviendra à faire entendre l'incroyable vérité dans la presse française, puis internationale : il s'agit d'un génocide dont les victimes se comptent déjà par centaines de milliers. Benoît Fidelin, journaliste à Pèlerin Magazine, nous raconte ici le destin hors du commun de ce témoin de l'Evangile, qui a choisi de se plonger corps et âme dans une culture khmère tout imprégnée de bouddhisme. Depuis son retour au Cambodge en 1993, François Ponchaud ne cesse de dénoncer d'autres scandales, comme les détournements de l'aide humanitaire ou la mise à sac du pays par les puissances militaro-mafieuses. Il a surtout entrepris, avec les plus pauvres, un énorme travail de reconstruction spirituelle, pour lutter contre le désespoir d'un peuple martyrisé.
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" Seuls les poissons vivant remontent le fleuve à contre-courant "