Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Comment prend-on plaisir à l'épopée ? Cette question, que néglige la poétique de l'épique, est au coeur des études européennes rassemblées ici...
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Résumé
Comment prend-on plaisir à l'épopée ? Cette question, que néglige la poétique de l'épique, est au coeur des études européennes rassemblées ici : d'où vient le plaisir d'écrire, et de lire, une épopée, en quoi la diversité, les cent sortes de variétés, la disparate même de l'écriture épique vont-elles combler le poète et son lecteur ? Miroir qui rapporte/les gestes des mortels en différentes sortes?, l'épopée donne à contempler un tableau mouvant du monde, une peinture colorée par les passions. Le plaisir de l'épique ne tiendrait-il pas à cette parfaite visibilité, à la vive clarté où nous fait pénétrer le geste du poète attaché à commémorer, à ?sacrer à la mémoire?, dit encore Vauquelin de La Fresnaye, une véritable histoire ? C'est cette grande lumière épique, incarnée en Homère et glosée par Hegel, cette victoire remportée sur la nuit, l'ombre, l'irrationnel, qui s'inscrivent ainsi - de Guillaume d'Orange à James Macpherson, dans l'imaginaire portugais ou dans les arts poétiques italiens - à la source même d'un devenir européen. ?Le monde naît. Homère chante? (Hugo).