Paris + Klein

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William Klein - Paris + Klein.
Tout gosse, William Klein rêvait de vivre à Paris comme Henry Miller, Gertrude Stein, et Cie. En 1948, démobilisé de l'armée US à Paris, il y est... Lire la suite
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Résumé

Tout gosse, William Klein rêvait de vivre à Paris comme Henry Miller, Gertrude Stein, et Cie. En 1948, démobilisé de l'armée US à Paris, il y est resté - pour fuir sa famille et l'Amérique et devenir peintre. Très rapidement, il a trouvé une autre famille et la reconnaissance de son talent. PARIS+KLEIN rassemble des photographies, aussi bien en noir qu'en couleur, des premières faites dans les années soixante à celles réalisées quelques jours avant la mise sous presse en mars 2002 : des gens de la rue, des personnalités, des manifestations, la mode, les flics, les courses, la politique, le métro, le football, la mort... la vie de cette grande capitale avec le regard de Klein, vif, acide, mélancolique, humoristique, ironique, émouvant.

Caractéristiques

  • Date de parution
    27/04/2002
  • Editeur
  • ISBN
    2-86234-324-2
  • EAN
    9782862343242
  • Présentation
    Relié
  • Nb. de pages
    344 pages
  • Poids
    3.06 Kg
  • Dimensions
    25,5 cm × 35,0 cm × 3,4 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de William Klein

Né à New York en 1928, Klein a grandi dans les " Mean Streets " de Manhattan. Sorti de l'université à 18 ans, il passe 2 années dans l'armée US d'occupation (dont une et demie à la Sorbonne, invité par le gouvernement français !). Il s'installe à Paris pour devenir peintre et travaille brièvement avec Fernand Léger. Ensuite, à Milan, il réalise une série de peintures murales pour des architectes italiens, assimilant en chemin l'évolution des arts plastiques de Masaccio au Bauhaus. En 1954, après 6 ans de recherches picturales, il retourne à New York et s'embarque dans une guérilla compliquée d'amour-haine avec sa ville natale. Moitié étranger distancié, moitié indigène révolté, il crée un journal photographique décapant. En 1956, paraît NEW YORK, un des livres les plus importants de l'histoire de la photographie, qu'il met en page lui-même. NEW YORK reçoit le Prix Nadar en 1957 en France mais ne sera jamais publié aux États-Unis. Rompant avec traditions et tabous, Klein a d'emblée imposé un style nouveau, violent, graphique, où se mêlent humour noir, critique sociale, satire et poésie. "Pour la première fois, écrit Alain Jouffroy, des photographies ont devancé l'évolution des arts plastiques. Klein a cerné, en effet, tous les thèmes traités par la suite dans la perspective du Pop Art, du Nouveau Réalisme et de la Nouvelle Figuration." Curieusement, à mesure que la réputation internationale de Klein grandit, il devient une figure de l'underground, là-même où il a puisé son inspiration. Aux cours des années suivantes, Klein publie trois nouveaux livres de conception débridée et cinématographique : ROME (1956), MOSCOU (1961), TOKYO (1962). De 1955 à 1965, il travaille par intermittence pour le magazine Vogue, créant des images d'un nouveau genre, insolites et graphiques. En 1958, Klein tourne BROADWAY BY LIGHT, sans doute le premier film pop et, dans les années soixante, abandonne la photographie pour le cinéma. Parmi ses films, les sagas de Supermen Noirs : MUHAMMAD ALI THE GREATEST (1964-74), ELDRIDGE CLEAVER BLACK PANTHER (1970) et THE LITTLE RICHARD STORY (1980) ; des documentaires politiques : LOIN DU VIETNAM (1967), LE FESTIVAL PANAFRICAIN (1969), GRANDS SOIRS ET PETITS MATINS (1968-78) ; des longs métrages de fictions : QUI ÊTES-VOUS POLLY MAGGOO ? (Prix Jean Vigo 1967), Mr FREEDOM (1968), LE COUPLE TÉMOIN (1976), etc., fables corrosives sur les mythes idéologiques de notre époque. Dans les années 80, il renoue avec la photographie, expose dans le monde entier et publie CLOSE UP (1989), TORINO 90 (1990), MODE IN & OUT (1994), de nombreux catalogues et monographies. Klein revoit à la loupe toutes ses planches de contacts de NEW YORK et conçoit le nouveau NEW YORK 1954-55 (1995) avec près de 100 pages supplémentaires et des douzaines de photos jamais publiées, certaines même jamais agrandies. À l'occasion du tournage de son dernier long métrage LE MESSIE (1999), il publie WILLIAM KLEIN FILMS (1998). Honoré du Prix international Hasselblad, du Guggenheim Award aux USA, du Grand Prix national en France, du Kultur Preis et du Prix Agfa-Erfurt en Allemagne, peintre, photographe, cinéaste, graphiste, Américain à Paris, William Klein échappe aux étiquettes, aux catégories, aux mouvements.

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