Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A partir de 1880, des centaines d'artistes, bénéficiaires de
bourses de voyage, partirent aux quatre coins du monde
croquer les paysages, mœurs et...
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Résumé
A partir de 1880, des centaines d'artistes, bénéficiaires de
bourses de voyage, partirent aux quatre coins du monde
croquer les paysages, mœurs et types physiques des indigènes. Le sol colonial fut bien sûr une destination privilégiée. Au début du siècle furent créées de nombreuses récompenses tel le Prix Abd-el-Tif, qui donnait le droit à un séjour d'une ou deux années dans la villa algéroise du même nom, ceux de l'Indochine, de l'A.O.F., de Madagascar, du Maroc, de la Tunisie, de l'Algérie, de l'A.E.F., de la Guadeloupe... et les prix des grandes compagnies maritimes. Tant outre-mer qu'en
métropole, des associations artistiques coloniales virent le
jour, organisèrent de nombreuses expositions et obtinrent le financement des voyages et séjours de leurs lauréats. Stéphane Richemond, administrateur du Musée d'art et
d'histoire Louis-Senlecq de L'Isle-Adam et auteur de plusieurs publications sur l'art africaniste et orientaliste, entreprit une véritable quête du Graal pour retrouver l'histoire oubliée de ces sociétés d'artistes, leurs archives et leurs rarissimes anciens catalogues d'exposition dont il nous livre ici une synthèse inédite de plus de 150 d'entre eux. L'ouvrage détaille l'histoire des diverses associations artistiques coloniales, les conditions d'obtention de bourses de voyage et en donne les titulaires. Il est suivi d'un dictionnaire de près de sept cents sculpteurs qui fournit, pour chacun d'entre eux, les divers prix et médailles qu'il reçut, les expositions coloniales auxquelles il participa et les œuvres qu'il y présenta.