Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La vie sociale est un théâtre, mais un théâtre patriculièrement dangereux. A ne pas marquer la déférence qu'exige son rôle, à se tenir mal, à...
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Résumé
La vie sociale est un théâtre, mais un théâtre patriculièrement dangereux. A ne pas marquer la déférence qu'exige son rôle, à se tenir mal, à trop se détache des autres comédiens, l'acteur, ici, court de grands risques. Celui, d'abord, de perdre la face ; et peut-être même la liberté : les hôpitaux psychiatriques qont là pour accueillir ceux qui s'écartent du texte.
Il arrive ainsi que la pièce prene l'allure d'un drame plein de fatalité et d'action, où l'acteur-acrobate - sportif, flambeur ou criminel - se doit et nous doit de travailler sans filet.
Et les spectateurs d'applaudir, puis de retourner à leurs comédies quotidiennes, satisfaits d'avoir vu incarné un instant, resplendissant dans sa rareté, la morale toujours sauve qui les soutient.
Sommaire
" Perdre la face ou faire bonne figure ? "
La tenue de la déférence
Le détachement
Les lieux de l'action, " la vie ", c'est sur le fil ; le reste, on attend.