Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ecrit en 1955, impubliable à l'époque, ce livre ne fut édité qu'en 1975, alors qu'un vif vent d'espoir soufflait sur un pays désireux de rattraper...
Lire la suite
19,00 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 30 avril et le 3 mai
En librairie
Résumé
Ecrit en 1955, impubliable à l'époque, ce livre ne fut édité qu'en 1975, alors qu'un vif vent d'espoir soufflait sur un pays désireux de rattraper te temps perdu en matière de liberté. Néanmoins, le propos, dans ce pays catholique, restait scabreux. Une trentaine d'années plus tard, il n'en est pas pour autant devenu consensuel, et Git-Albert lui-même souligne son manque d'aménité. L'homosexuel dépeint est un homme libre ; traversée de rencontres, sa solitude reste radicale. Ses manières, son style de vie n'ont que faire d'une communauté gay - ce n'est pas te moindre des intérêts de cet ouvrage aujourd'hui où L'existence d'une telle communauté paraît aller de soi. Il ne s'agit pas ici de défendre L'homosexualité, mais de la fonder. Ce à quoi s'attache la figure centrale d'Héraclès, alternative concertée au Corydon de Gide comme à l'Antigone de Kierkegaard.