Le fantôme de Canterville - Suivi de Le crime de lord Arthur Savile - Poche

Yann Couvin

(Illustrateur)

,

Henri Robillot

(Traducteur)

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Bombardé de boulettes de papier et d'oreillers, jamais, durant les trois siècles de sa brillante carrière, le fantôme de Canterville n'a été à... Lire la suite
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Résumé

Bombardé de boulettes de papier et d'oreillers, jamais, durant les trois siècles de sa brillante carrière, le fantôme de Canterville n'a été à ce point ridiculisé ! Mais pour qui se prennent-ils, ces Américains qui s'apprêtent à acheter le manoir de Canterville ? Rien ne les effraie, ni les squelettes, ni les chaînes, ni les éclats de rire sataniques... De quoi devenir fou, quand on tient, comme tout fantôme qui se respecte, à sa réputation !

Caractéristiques

  • Date de parution
    15/03/2007
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-061261-1
  • EAN
    9782070612611
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    132 pages
  • Poids
    0.105 Kg
  • Dimensions
    12,5 cm × 18,0 cm × 0,8 cm

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L'éditeur en parle

Tout le génie de conteur d'Oscar Wilde dans ces deux célèbres histoires pleines d'humour et de frissons. Suivi de Le crime de Lord Arthur Savile.

À propos de l'auteur

Oscar Wilde

Biographie d'Oscar Wilde

Oscar Wilde est né à Dublin, en Irlande. Son père est chirurgien, sa mère est poétesse et traductrice d'auteurs français (Dumas et Lamartine). Il fait ses études au Trinity College de Dublin puis à Oxford, en Angleterre. Grâce à son élégance et à sa vivacité d'esprit, il devient vite un auteur très apprécié en Grande-Bretagne, mais aussi en France où il est salué par les milieux littéraires. Ses poésies, ses contes, ses histoires, son roman («Le Portrait de Dorian Gray») et ses pièces de théâtre - dont l'une "Salomé" est écrite en français, est créée par Sarah Bernhardt - assurent son succès.
Il est alors reconnu comme le chef de file de ce que l'on a appelé «le culte esthétique» : extrême raffinement, amour exclusif des belles choses, attitude détachée. Mais sa vie bascule en 1895 ; lorsqu'il est condamné à deux ans de travaux forcés dans une Angleterre victorienne très puritaine. Refusant de fuir, il purge sa peine et sort brisé du bagne. Il est désormais un homme ruiné, exclu de la société.
Il finit misérablement sa vie à Paris où il meurt le 30 novembre 1900, à 46 ans d'une méningite. Ses derniers mots, dans une chambre d'hôtel au décor miteux (hôtel d'Alsace, 13, rue des Beaux-Arts à Paris) auraient été : "Ou c'est ce papier peint qui disparaît, ou c'est moi".

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