Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Hommes très charmants, sans grande confiance en eux-mêmes, dandys amers et très doux, vite amusés ou désespérés... ". Ainsi Paul Morand parle-t-il...
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Résumé
" Hommes très charmants, sans grande confiance en eux-mêmes, dandys amers et très doux, vite amusés ou désespérés... ". Ainsi Paul Morand parle-t-il des " longues moustaches " dans Venises. Edmond Jaloux, Jean-Louis Vaudoyer, Émile Henriot, Abel Bonnard, Eugène Marsan étaient membres de ce cénacle littéraire et tous se ralliaient au cri de guerre de leur maître Henri de Régnier : " Vivre avilit. " Dans cette page méconnue de la littérature, on découvre des décadents, des écrivains provisoirement oubliés, des excentriques, à Paris, à Venise ou sur la Riviera. Tous ces dandys n'ont plus aucune illusion sur rien mais persistent à croire en la beauté. L'essai de Michel Bulteau, petit classique de l'égotisme, depuis longtemps introuvable, reparaît ici augmenté de diverses études sur le rôle et la nécessité du dandy aujourd'hui. Le Club des longues moustaches a reçu le prix Oscar Wilde 1990.
Michel Bulteau a déjà publié aux éditions du Rocher un essai sur le sulfureux Baron Corvo, L'Exilé de Venise, ainsi que deux recueils de nouvelles, Le Monde d'en face et Les Zéros absolus.