Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les rencontres, dans le vocabulaire entre mer et politique, sont fréquentes. Le cap, tenir le cap est un mot qui revient sans cesse dans les deux langages...
Lire la suite
21,30 €
Neuf
Définitivement indisponible
En librairie
Résumé
Les rencontres, dans le vocabulaire entre mer et politique, sont fréquentes. Le cap, tenir le cap est un mot qui revient sans cesse dans les deux langages et est tout à fait positif dans les deux cas. En revanche, louvoyer, terme maritime essentiel qui permet en changeant d'amure de façon répétée de gagner au vent progressivement, contre le vent, tout à fait respectable dans le langage maritime, a quelque chose d'infamant dans le langage politique. Eh bien le langage politique a tort. Il faut savoir aussi louvoyer à terre si on veut atteindre son but, son idéal. C'est la différence entre le cap et la route. Déjà on parle de cap " vrai " en corrigeant le compas de la déviation et de la déclinaison magnétique. Jean Glavany, qui est un excellent marin, sait qu'il faut avoir un cap (il n'y a pas de bonne navigation pour celui qui ne sait pas où il veut aller) mais aussi savoir adapter la route pour prendre la plus efficace qui n'est pas toujours la plus droite. Leçon de voile, et de vie. Jean-François Deniau de l'Académie française.