Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un refrain connu évoque l’âme des poètes : ces derniers la prêtent-ils aux objets qu’ils chantent ? Et l’ombrelle que voici, en aurait-elle...
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Résumé
Un refrain connu évoque l’âme des poètes : ces derniers la prêtent-ils aux objets qu’ils chantent ? Et l’ombrelle que voici, en aurait-elle une ? Venue d’où ? Ou plutôt : de qui ? L’on se sert d’elle pour commettre une atrocité vengeresse lors de l’échec de la Commune, elle réapparaît avec éclat, joliment remise à la mode par une artiste de vingt ans, dans un défilé ensoleillé du Front populaire. Mais entre ces deux grandes dates, quelles furent ces femmes, discrètes ou frivoles, sages mères de famille ou militantes passionnées de la cause féminine, suffragettes, séductrices, bourgeoises, ouvrières, employées dont l’ombrelle aura, traversant les années, protégé la jeunesse ou l’âge mûr ? Ce que vécurent ces femmes dans un monde secoué par tant d’événements les différencie, et pourtant, nous les rend toutes attachantes. Est-ce là ce qui donnerait une âme à ce bel objet, symbole du charme féminin et passant ici de main en main ?