Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Comment survivre à Kwaï ? Aux camps ? A la jungle ? Aux violences de l'armée impériale japonaise, aux exécutions sommaires ? Comment résister aux...
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Résumé
Comment survivre à Kwaï ? Aux camps ? A la jungle ? Aux violences de l'armée impériale japonaise, aux exécutions sommaires ? Comment résister aux travaux forces, au choléra, au béribéri, au froid, à la faim, à la soif ? Rien n'avait préparé John Stewart à construire le pont sur la rivière Kwaï. Paris, années 1930 : famille d'industriels. Enfance insouciante dans un milieu aisé et austère. Lycée Janson de Sailly. John Stewart raconte admirablement ce pays nonchalant et munichois écoutant les imprécations de " Herr Hitler " sans vraiment les entendre. Puis Londres : l'engagement, la drôle de guerre, Singapour. La captivité. Kwaï. L'apprentissage du Japonais et la découverte de l'Asie. Hiroshima. C'est l'artiste en John Stewart qui survit à Kwaï. Son récit est un ensemble de portraits, de clichés, de croquis impressionnistes. Il capture un visage, un dialogue, un cauchemar bien réel, une rêverie, un paysage, dans ce qu'ils ont de singuliers et d'éphémères. La quiddité de l'être. Sa rencontre avec Henri Cartier-Bresson n'a rien changé : John Stewart était déjà photographe en 1939-1945. Kwaï est une formidable leçon d'humanité et d'esthétique récitée avec son humour inimitable, juif et britannique. Récit de guerre. Mémoires. Hommage. Oraison funèbre. Témoignage. Récit de voyage. Enquête.