Journal d'un critique d'art désabusé (2009-2011)

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Résumé

Comment un jeune Vendéen débarqué de Nantes à l’été 1945 est-il devenu ce critique d’art au flair redoutable qui a su déceler dès le début les peintres devenus désormais incontournables, celui qui a fait connaître le mouvement Cobra (Appel, Constant, Corneille) en France et a suivi avec une amitié fidèle l’oeuvre de Soulages, de Hartung, d’Atlan, de Dubuffet jusqu’à aujourd’hui ? Michel Ragon dans ce Journal tenu entre 2009 et 2011, à l’occasion de rétrospectives et d’expositions de peintres devenus désormais des classiques, revient sur ses rencontres, ses amitiés, ses admirations et ses dégoûts.
S’amusant du non-art, déplorant le "financial art", il évoque une époque où les artistes créaient sans s’occuper du marché, revendiquaient une vision de l’art allant à l’encontre des modes du moment, suivis souvent par des galeristes qui croyaient en eux, en leur génie et quelques critiques pour qui l’admiration tenait lieu de pain quotidien. Arman, Klein, Spoerri, Pollock, Alechinsky, Jorn, Chaissac, Etienne-Martin, Zao Wou-Ki, tant d’artistes qui ont marqué leur temps, d’autres oubliés comme Nicolas Schöffer ou Georges Mathieu après avoir été célèbres, Michel Ragon leur rend hommage en témoin, acteur et historien de cette seconde moitié du XXe siècle si foisonnant en oeuvres capitales qui font désormais partie de notre patrimoine culturel.

Caractéristiques

  • Date de parution
    28/08/2013
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-226-24854-1
  • EAN
    9782226248541
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    188 pages
  • Poids
    0.222 Kg
  • Dimensions
    12,6 cm × 18,4 cm × 2,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Michel Ragon

Michel Ragon arrive à 23 ans à Paris. Il est engagé en 1948 comme pigiste au journal Arts pour des articles sur la littérature prolétarienne, rencontre très vite Hartung, Atlan, Schneider et Soulages. Vient ensuite la découverte du mouvement Cobra puis la fondation de la revue Cimaise à laquelle participe bientôt Pierre Restany. Entre ses amis écrivains prolétariens, autour d’Henry Poulaille, ses amis anarchistes, et ses amis de l’abstraction lyrique, de l’art brut, du nouveau réalisme, pas de point commun.
Des mondes hermétiques, entre le critique d’art, l’historien de l’architecture et le romancier Ragon, une sorte de mur invisible et pourtant une même passion. Dernier ouvrage paru : Ils se croyaient illustres et immortels (2011).

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