Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'art chevaleresque soufi est un traité sur la futuwah, c'est-à-dire l'ensemble des traditions, coutumes et pratiques qui constituaient le code de la...
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L'art chevaleresque soufi est un traité sur la futuwah, c'est-à-dire l'ensemble des traditions, coutumes et pratiques qui constituaient le code de la vie chevaleresque musulmane au Moyen Age. Il s'agit ici de la chevalerie entendue au sens spirituel et éthique, et non de son aspect militaire, lequel est traité plutôt dans des " manuels du parfait cavalier " ou dans des écrits concernant l'art de la guerre.
Comme en Occident médiéval, l'initiation guerrière avait des rapports étroits avec l'initiation proprement spirituelle et l'initiation des métiers. Mais en Islam, il n'y avait pas d'organisation officielle de ces institutions occidentales telles que les ordres monastiques, chevaleresques ou les guides professionnels.
L'art chevaleresque soufi est la traduction commentée d'un texte arabe dû à un auteur d'origine persane du Xe - XIe siècle (Abû Abd al-Rahman ibn al-Husayn al-Sulumî). Un autre ouvrage de Sulamï, Tabaqât al-Sufiyya, Les classes de soufis, figure parmi les sources les plus importantes que nous possédions sur le soufisme des premiers siècles de l'Islam.