Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Léger, soyeux froissement. Elle s'était approchée et attendait. Il sentait l'odeur un peu lourde de son parfum mêlée à celle, innocente, de son...
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Résumé
" Léger, soyeux froissement. Elle s'était approchée et attendait. Il sentait l'odeur un peu lourde de son parfum mêlée à celle, innocente, de son corps. Elle tendit le bras vers le tableau, un bras long, mince et blanc, ombré d'un fin duvet.
Alors tu l'aimes ?
Oui, dit Golo, d'une voix si rauque qu'il se racla la gorge. Il est beau, très beau...
Le bras d'Anna était tout son corps, pâle et velouté. Yeux fendus, nez en l'air, bouche en rade.
Tac. Elle lançait quelque chose sur le plancher. Une sandale ? Tac. L'autre. "
Lorsque Golo Metz rencontre Anna, il a presque complètement cessé de peindre.
Son employeur, Joseph Traumer, dont la galerie d'art est une des plus cotées de Paris, a renoncé à voir en Golo autre chose qu'un bricoleur idiot, tout juste bon à restaurer les tableaux volés qui affluent des poussiéreuses réserves de musées russes (car Joseph le dandy ne se distrait qu'à truander - et de préférence ses amis de la mafia moscovite).
Et puis surgit Anna Ardorovitch, " elfe insensible et rusé " débarquant de son Elcktrostadt, une des plus riantes banlieues de Moscou, et avec elle un tableau, vrai ou faux, de Kazimir Malevitch...