Fables pas toujours très morales

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Benoît Pastisson - Fables pas toujours très morales.
Les fables les plus connues parlent de problèmes qui, souvent, ne sont plus d'actualité. Il était donc temps de dépoussiérer. Celles qui sont proposées... Lire la suite
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Résumé

Les fables les plus connues parlent de problèmes qui, souvent, ne sont plus d'actualité. Il était donc temps de dépoussiérer. Celles qui sont proposées ici portent un regard amusé sur notre époque, sur notre façon de vivre. Tout y passe : la politique, la standardisation de nos habitudes, le désir d'aller toujours plus vite, la peur de vieillir, la fugacité de l'instant, la consommation amoureuse, les rêves exotiques d'îles désertes, le mythe de l'ermite... Nos contemporains sont analysés à la loupe, et il serait vain de croire qu'il ne s'agit que des autres... Parler sérieusement en s'amusant ou s'amuser en étant sérieux, voilà une bonne acuponcture pour se comprendre sans douleur. Mais ne nous faisons pas trop d'illusions : les défauts des autres sont toujours insupportables, alors que ceux que l'on accepte de s'attribuer sont si élégants. Arrêtons de faire des vocalises. Si nous nous trémoussions maintenant.

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/08/2004
  • Editeur
  • ISBN
    2-84301-095-0
  • EAN
    9782843010958
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    150 pages
  • Poids
    0.24 Kg
  • Dimensions
    15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Benoît Pastisson

Benoît Pastisson aurait aimé sculpter la poussière d'une étoile, réparer une horloge biologique, plonger dans les méandres de la relativité. Mais quand il s'est aperçu qu'il en était incapable, il s'est posé des questions, qu'il exprime sous forme de fables. N'est-ce pas la meilleure façon de raconter des histoires, sans savoir très bien où se trouve la limite entre ce qui s'est passé et ce qui est inventé. Non, ce n'est pas de la mythomanie, mais juste une légère tendance à l'affabulation. D'ailleurs il est arrivé qu'on le traite de parasite ? Le pire, c'est que ça lui fait plaisir ! Certes ! Les mots sont difficiles à contrôler : qu'une insulte soit prise pour un compliment, et voilà la compréhension qui s'inverse. Quelle misère ! Mais si un loukoum était un loukoum, tout serait tellement plus ennuyeux!

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