Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un demi-siècle après l'effondrement du IIIème Reich, le passé nazi "ne passe pas". Outre-Rhin, l'espace public n'a jamais cessé d'être habité par...
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Résumé
Un demi-siècle après l'effondrement du IIIème Reich, le passé nazi "ne passe pas". Outre-Rhin, l'espace public n'a jamais cessé d'être habité par les controverses sur la "voie singulière" et la "normalisation" d'un pays qui porte dans sa mémoire le crime de génocide résumé par Auschwitz. Le nazisme constitue un champ exemplaire de tensions et de discordances entre les impératifs de l'histoire et les injonctions de la mémoire. A bien des égards, l'acte de mémoire a partie liée avec l'acte d'écriture comme la mémoire, en effet, la littérature redessine la trame du temps et recompose les identités malmenées. De l'après-guerre à la réunification, en 1990, les soubresauts de l'histoire ont "engendré" une littérature à plusieurs voix, animée par le besoin impérieux de se libérer du passé en se réappropriant ses mémoires. Thomas Mann, Anna Seghers, Günter Grass, Christa Wolf, Marcel Beyer, Gila Lustiger... Témoins ou héritiers, trois générations d'écrivains passeurs de mémoires.
Brigitte Krulic, ancienne élève de l'Ecole normale supérieure, agrégée d'allemand, est maître de conférences à l'université Paris-XII et à l'Institut d'études politiques de Paris.