Cours sur la rive sauvage - Poche

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Le jeune Iven Zohar est amoureux de Radia. A l'instant où débute le roman, ils vont se marier ; mais un cataclysme se déchaîne et les sépare. Iven... Lire la suite
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Résumé

Le jeune Iven Zohar est amoureux de Radia. A l'instant où débute le roman, ils vont se marier ; mais un cataclysme se déchaîne et les sépare. Iven Zohar n'a plus qu'une pensée en tête : retrouver Radia. Commence dès lors une quête dont le terme, croit-il, le sauverait de l'anéantissement. Il la retrouve bientôt. Elle l'attire vers un monde inconnu, où il la suit, malgré ses appréhensions. En réalité, ce n'est plus elle, mais une autre femme, Hellé, d'une nature démoniaque, qui s'est substituée à Radia. Quand il arrive à comprendre que Hellé n'est pas Radia, il est trop tard Iven Zohar ne peut plus échapper à l'emprise qu'elle exerce sur lui. Quête initiatique, roman onirique voire fantastique, Cours sur la rive sauvage poursuit la réflexion sur l'amour et l'écriture que Mohammed Dib avait initié dans Qui se souvient de la mer.

Caractéristiques

  • Date de parution
    13/05/2005
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-02-081324-6
  • EAN
    9782020813242
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    154 pages
  • Poids
    0.09 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 18,0 cm × 0,8 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Mohammed Dib

Mohammed Dib est né à Tlemcen, dans l'ouest algérien. Ville natale à laquelle il rendit hommage dans sa célèbre trilogie : La Grande Maison (1952), L'Incendie (1954) et Le Métier à tisser (1957). Instituteur un temps, puis comptable, traducteur, journaliste à " Alger Républicain " et pour le compte de l'organe du Parti communiste " Liberté ", il est finalement expulsé d'Algérie en 1959. Il s'installe en France et commence sa carrière littéraire. Il est le premier écrivain maghrébin à recevoir, en 1994, le Grand Prix de la Francophonie. Et celui dont Aragon disait : " Cet homme d'un pays qui n'a rien à voir avec les arbres de ma fenêtre, les fleuves de mes quais, les pierres de nos cathédrales, parle avec les mots de Villon et de Péguy ". Il est mort chez lui, à La Celle-Saint-Cloud, le 2 mai 2003, à l'âge de 83 ans, laissant derrière lui quelques une des plus belles pages de la littérature algérienne.

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