Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La passion de l'art culinaire et le goût de la peinture peuvent parfois se rejoindre à merveille. Ainsi, de la Renaissance au XVIIIe siècle, Venise...
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Résumé
La passion de l'art culinaire et le goût de la peinture peuvent parfois se rejoindre à merveille. Ainsi, de la Renaissance au XVIIIe siècle, Venise a pris autant de plaisir à organiser de fabuleux banquets qu'à les voir représentés par ses plus grands peintres : Véronèse, le Tintoret, Tiepolo et bien d'autres.
Au début du XVIe siècle, la peinture privilégie le caractère religieux et austère de la Cène à Emmaüs. Puis elle s'oriente vers des représentations plus laïques et profanes. La bonne chère l'emporte vite sur les préoccupations sacrées. Avec une prédilection pour les Noces de Cana, miracle de la métamorphose de l'eau en vin. Les peintres vénitiens font ainsi du premier miracle du Christ une opulente et prosaïque tablée. Jusqu'à la Dernière Cène qui se transforme en véritable banquet.
Dans ce parcours pictural et gourmand, Alain Buisine affiche l'effective présence du promeneur qui goûte et savoure les richesses de la Sérénissime comme un de ces plats typiques que proposent encore les trattoria des quartiers populaires.
Alain Buisine a notamment publié chez Zulma l'Orient voilé (1993), l'Ange et la Souris (1997) et un Dictionnaire amoureux et savant des couleurs de Venise (1998).