Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A lire le nom de Duane Michals sur la couverture du présent ouvrage, on pourrait penser qu'il s'agit d'un livre de photographies. Il n'en est rien. Le...
Lire la suite
30,00 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 23 avril et le 26 avril
En librairie
Résumé
A lire le nom de Duane Michals sur la couverture du présent ouvrage, on pourrait penser qu'il s'agit d'un livre de photographies. Il n'en est rien. Le titre annonce très justement ce qu'il contient. Car, à ses talents d'imagier, Duane Michals joint ceux de l'écrivain qu'il n'a jamais cessé d'être. Ceux qui reconnaissent en lui, le virtuose de la narration séquentielle, le maître portraitiste de Magritte, de Duchamp et de Warhol, retrouveront dans ses textes le compagnon de route de Whitman et d'Edward Lear, le goût qu'il a pour l'insolence et le non-sens. Les aphorismes du Docteur Duanus ont la cocasserie de ses autoportraits. Mais, par-delà une tendance constante à la dérision, ils traitent aussi le destin de l'homme, des mystères du quotidien, du désir et de la mort, le tout parfois étonnement teinté de mysticisme. Michel Foucault dit de Duane Michals qu'il a entrepris d'annuler la fonction oculaire de la photographie. Les textes présentés ici confirment bien l'interpénétration des deux moyens d'expression, ceux d'une nature prodigieusement inventive, ceux d'un encore d'un moraliste que la loufoquerie rend plus acide encore.