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Quelques années auparavant, Pamela Isley, scientifique et activiste, est devenue Poison Ivy. Depuis, tout le règne végétal lui obéit. Mais finis les larcins. La voilà investie d'une mission, que Mère Nature lui a insufflée : décimer l'humanité pour que la Terre se renouvelle. Cependant, des doutes l'assaillent, des relations se nouent au fil des rencontres. Et si elle se fourvoyait ? D'autant que, dans l'ombre, son ancien mentor la pourchasse. Et son don se transforme en virus, la tuant à petit feu. Bientôt, il n'y aura plus de maîtresse de la végétation. L'heurte tourne, il lui faut de toute urgence libérer ses spores toxiques et les faire proliférer. La fin du monde a commencé.
Une éruption solaire qui affecte la planète entière. Un dixième de la population pourvus de pouvoirs liés à la pensée. Comment vivre encore en société civilisée quand certains peuvent découvrir vos plus noirs secrets ? Contrôler à distance une armée d'humains ? Produire et manipuler du feu ou renverser des immeubles ? Ce comics, qui rappellera par moments les X-Men — des êtres différents confrontés à une volonté d'identification et de régulation — est une réflexion sur ce que la société pourrait devenir si les forces étaient inversées.
Passer sa journée à jouer à chat, à dessiner sur les murs ou à explorer la ville, quand on est un enfant, ça à l'air génial ! Mais quand on est en fait un vampire et que ça fait 100 ans qu'on fait ça, ça commence à devenir lassant... Alors quand Romie, Lucas et les autres tombent sur un humain pour la première fois en un siècle, la tentation de ne pas suivre les consignes est forte, surtout que "l'Ancien", qui devait revenir les chercher, n'a pas pointé le bout de son nez depuis tout ce temps ! De là à considérer que les règles ne s'appliquent plus, il n'y a qu'un pas...
Et si la vérité n’était pas fixe ? Et si la réalité pouvait être modifiée si suffisamment de gens croient la même chose ?
Le « department of truth » est un service secret du gouvernement US dont l’objectif est d’empêcher que les platistes ne deviennent trop nombreux et rendent la terre
réellement plate, ou que trop de gens ne croient au Bigfoot, risquant alors de le faire apparaitre. Mais alors, comment avoir confiance en ce qu’on connait ? Et comment être sûr que tout ne changera pas demain ?
Lun des meilleurs scénaristes américains du moment s'attaque aux théories du complot et à notre histoire moderne, servi par un graphisme atypique et puissant. Une petite merveille, confirmée à chaque nouveau tome !
Douze personnes se retrouvent conviées par un ami commun à passer un séjour de rêve dans une magnifique villa au bord d'un lac. Tout est prévu pour les accueillir parfaitement : boisson, nourriture, divertissement... Bref des vacances idylliques à tout point de vue !
Mais quand l'ami à l'origine
de l'invitation leur révèle qu'il est un extraterrestre, que la population de la Terre a été décimée, qu'ils sont les douze derniers et qu'ils ne devront jamais sortir d'ici sous peine de sanctions terribles, l'idylle devient bien moins sympathique.
James Tynion IV à déjà prouvé a de nombreuses reprises qu'il était l'un des scénaristes sur lesquels il fallait compter, menant de front certaines des séries les plus prometteuses et intéressantes parues aux Etats-Unis ces dernières années ("The department of truth" ou "Something is killing the children" pour ne citer qu'elles). Avec "The nice house on the lake", il enfonce encore le clou et se positionne encore une fois dans la course au prix Eisner du meilleur scénariste, un prix amplement mérité !
Après s'être absenté pendant des années pour ses études, Friday Ftizhugh retourne dans sa ville natale de Kings Hill. La neige tombe a gros flocon, et un parfum de magie flotte dans l'air...
Il faut dire que Kings Hill n'est pas une petite ville ordinaire. Içi, les légendes prennent vie et
le paranormal est plus qu'une simple hypothèse. Avec l'aide de son ami d'enfance Lancelot, Friday parviendra t'elle à échapper au piège qui se referme sur elle ?
C'est sombre, c'est mystérieux, c'est poétique, c'est haletant, et quand on referme le livre on n'a qu'une seule envie : savoir la suite !
Après s'être absenté pendant des années pour ses études, Friday Ftizhugh retourne dans sa ville natale de Kings Hill. La neige tombe a gros flocon, et un parfum de magie flotte dans l'air...
Il faut dire que Kings Hill n'est pas une petite ville ordinaire. Içi, les légendes prennent vie et
le paranormal est plus qu'une simple hypothèse. Avec l'aide de son ami d'enfance Lancelot, Friday parviendra t'elle à échapper au piège qui se referme sur elle ?
C'est sombre, c'est mystérieux, c'est poétique, c'est haletant, et quand on referme le livre on n'a qu'une envie : savoir la suite !
Si j'avais su à quel point ce premier tome était dingue je ne l'aurais pas laissé vieillir un mois entre les superslips de marvel et les justiciers de DC Comics... Bon sang, je me suis pris une belle claque !
"The Nice House on the lake" est un genre de thriller apocalyptique étrange, original,
complexe et terriblement addictif. Le personnages sont tous là pour une raison bien précise, ils sont fouillés et chaque arc narratif compose au fil de l'eau le grand puzzle de la révélation finale... On suit un groupe de trentenaires réunis pour une semaine de vacances dans une splendide villa au bord d'un lac. Le dénominateur commun entre tous ces personnages ? C'est Walter. C'est lui qui invite et qui organise. Sauf que l'escapade vire au drame quand la petite troupe réalise que le reste du monde part en fumée, les réseaux sociaux s'emballent, et les vidéos de fin du monde envahissent la toile... Jusqu'au silence complet. Tout le monde est mort là dehors, il ne reste plus qu'eux, dans leur jolie maison au bord du lac. Et Walter annonce qu'il est à l'origine du cataclysme.
Vivement le tome 2 !
Absolument pas ce à quoi je m'attendais !
Je m'attendais à une histoire d'horreur assez basique. Une histoire de gens qui sont trucidés les un après les autres dans une grande maison loin de tout, quelque chose de la sorte.
Et j'ai eu, à la place, une histoire qui sort complètement des
sentiers battus.
Pas vraiment d'horreur... encore que...
Une histoire d'amitiés longues et de fin du monde.
Beaucoup de réflexions intéressantes, de personnages intrigants.
Une très bonne surprise. Je ne vais pas pouvoir attendre la sortie du tome 2 en vf ! !
Plongez-vous dans l’ambiance mystérieuse de la petite ville de Kings Hill, où les phénomènes paranormaux semblent faire le pain quotidien des habitants du cru.
Le dessin est original, les couleurs son envoûtantes et certaines planches sont à couper le souffle !
J’ai adoré ce récit
à la frontière entre Stranger things et les livres de Stephen King, et encore plus Friday, héroïne à la tête dure et au cœur encore ballotté par ses émois d’adolescente.
J’ai hâte de découvrir la suite ♥
En 2018, le tome 9, non seulement se terminait sur un sacré choc !
Mais les auteurs annonçaient qu'ils allaient faire une pause !
Pardon ?
4 ans plus tard, sort enfin le tome 10 ! Et on l'attendait !
Je me suis précipitée dessus (j'ai relu le 9 quand même, parce que bon... j'étais
plus sûre de bien me souvenir) et wow ! Toujours un plaisir de retrouver les personnages.
Évidemment, le ton est un peu différent...
J'ai souris bêtement en retrouvant le chat Mensonge !
J'ai enragé, j'ai trépigné, j'ai pleuré.
Saga restera toujours Saga, même si l'attente a été longue.
Mais peut-être que tout le monde avait besoin de souffler un peu après le dernier tome, surtout Alana.
C'est difficile de parler de celui que tu aimes dans les ténèbres. Ça commence extrêmement bien pour Ro, elle avait besoin de solitude, de s'éloigner de sa vie et des tentations, pour se remettre à peindre. Elle a trouvé cette maison, à l'allure de vieux manoir hanté. La femme de l'agence la
lui a déconseillée... Mais elle a un vrai coup de cœur, c'est là que la magie va opérer.
Et la magie opère !
C'est une histoire de création, d'amour, de passion. Qui démarre avec beaucoup de bienveillance, et de respect, mais qui peut aussi dégénérer en relation archi-toxique très rapidement !
Dans un univers futuriste, ou les princesses sont toujours mariées sans leur consentement, des tournois ont toujours lieu, où le prix du vainqueur est la main de la princesse.
Certains chevaliers sont des professionnels, là pour gagner ce prix pour un prince.
Certains de ces « chevaliers »
sont en fait des princesses qui ont gagné leur propre mains et décidé de se battre, pour gagner celles des autres, afin de les libérer.
Je suis si contente que ce titre sorte enfin en français ! Je vais pouvoir le mettre entre de si nombreuses mains.
Il est si bien, drôle, empouvoirant !
Et si les personnages des contes que l'on connaît existaient vraiment.
Ils ne seraient certainement pas aussi plat que l'on veut bien les montrer, ils auraient leurs défauts, leurs failles, et leurs histoires de meurtres à résoudre.
Qui a écrit sur le mur, en lettre de sang « et ils ne
vécurent plus jamais heureux » ?
Les personnages de contes de fée, dans l'univers des films de série B avec pour détective privé le grand méchant loup.
Parfait !
Toujours aussi bien cette série ! C'est un plaisir de passer le 4e mur pour retrouver les personnages face à leurs lecteurs, des auteurs de comics qui font des clins d’œil au lecteur que nous sommes.
Bref ils se sont bien amusés sur cette série, des caméos, des références (je les ai pas
toutes, mais c'est pas gênant.) de l'action, de l'amitié, une histoire d'amour ? (c'est en tout cas ce qui était prévu ? Mais qui sait ce qui peut bien se passer...)
Un groupuscule de faux Batman s'en prends à des gens, qui se révéleront rapidement être les gens qui ont été sauvés par Batman a un moment ou un autre.
Bruce va devoir apprendre à demander de l'aide, s'il veut mettre fin à cette tuerie.
Une petite ballade à Londres et à Paris et en prime,
une rencontre avec un mentor de Bruce.
J'ai été accrochée dès les premières cases, un dessin maîtrisé, beaucoup de jeu de texture, et de juxtaposition de cases. Qui donne un aspect vraiment magique à une histoire bien ficelée, qui nous donne des infos au fur et à mesure du récit, ni trop vite, ni trop lentement.
Un parfait équilibre,
qui nous donne de la magie, du drame familial, de la lutte de pouvoir.
Et si les personnages des contes que l'on connaît existaient vraiment. Ils ne seraient pas aussi plat que l'on veut bien les montrer, ils auraient leurs défauts, leurs failles, et leurs histoires de meurtres à résoudre.
Qui a écrit sur le mur, en lettre de sang « et ils ne vécurent plus jamais
heureux » ?
Les personnages de contes de fée, dans l'univers des films de série B avec pour détective privé le grand méchant loup.
Parfait !
C'est sombre. C'est plein de personnages qu'on a aimé, et qu'on voit mourir les uns après les autres.
En effet probablement le plus sombre des épisodes Dc !
Mais c'est aussi un épisode alternatif super intéressant.
Et plein de zombies ! (tout ce que j'aime!)
Jon, le fils de Clark Kent, est devenu grand (un peu précipitamment d'ailleurs) et se pose pas mal de questions sur son devoir de protéger la Terre, y compris de ses habitants. Qu'a-t-il le droit de faire ? De dire ?
Extrêmement intéressant, moderne et encourageant.
C'est un vrai Superman Next
generation. Une aventure qui fait du bien.
J'adore les Locke and Key, le dessin, l'univers, la magie des clefs, tout !
Alors évidemment c'est toujours un plaisir de retrouver l'univers de la saga.
Mais là on retrouve l'une de mes histoires préférées « entre ciel et terre » et puis la suite des histoires de cette famille.
Un
univers onirique, moins sanglant que d'autres, toujours magique, avec un aperçu de l'univers de Sandman.
La prophétie est en route et un petit garçon vient de naître en Inde ; il s’appelle Darius, et il sera celui qui trouvera le secret de l’immortalité.
La déesse de la mort est alors convoquée devant la haute autorité du ciel pour être démise de ses fonctions. Son aide n’est plus nécessaire..
Elle décide alors de mener une vie de mortelle, et de se réincarner dans le corps de Laïla Starr, une jeune inconnue au bataillon qui vient de mourir en tombant d’une fenêtre. Son but désormais ? Tuer le petit Darius pour retrouver son statut de divinité.
Arrivera-t-elle à ses fins, où sera-t-elle à l’origine de sa propre déchéance ?
Une ambiance folle, un récit hors du commun qui tisse une réflexion riche autour de la fragilité de la vie, de sa rareté et de sa force. La sensibilité des mortels vient se heurter à la vision des dieux et c’est aussi agréable à lire qu’à regarder .
Une histoire poignante (ou bien je suis très sensible... possible), qui reprends une idée qu'on connaît déjà : d'une adolescente forcée de quitter son école, ses amis, et sa ville (en l’occurrence son vaisseau ici), mais avec un twist : elle part avec ses parents sur Terre.
À 30 ans (passé
cryogénisée) de chez elle, voilà qu'une fois arrivée sur Terre, c'est un vrai choc des cultures, dépassée, et malgré son incroyable envie d'appeler ses meilleurs amis... Eux sont devenus des adultes depuis.
J'ai aimé le dessin, j'ai aimé l'intrigue, j'ai adoré la vision d'une Terre dans un futur moins sombre que ce à quoi on est habitués.
Et j'ai hâte de lire la suite !
Gar est un lycéen mal dans sa peau : il n'a pas connu la croissance qu'il espérait, il est loin d'être le plus populaire et la fille qui l'intéresse le regarde à peine. Il est prêt à tout pour se faire remarquer. Pourtant, quand il arrête ses compléments alimentaires, quelque chose d'étrange
se produit. Sa croissance se développe en une nuit, ses réflexes et son agilité s'accroissent, et il semble adopter des caractéristiques animales. Beast Boy (Changelin) est né.
Des dessins teintés de vert, un récit jeunesse d'adolescents scolarisés qui sortent et tombent amoureux, un duo d'auteure-illustrateur au poil, voilà la force de ce roman graphique, deuxième origin story d'un membre des Teen Titans. A découvrir également Raven.
Un portail s'est ouvert au milieu de Denver, et des créatures ainsi que des super-héros de comics en sont sortis, et se sont mêlés au monde réel.
Denver a été placé sous un dôme. Les parents d'Ellie y sont toujours. Et le monde... est devenu très anti-comics. Quand un jour, une petite fille
apparaît dans la boutique de bd où elle travaille. Une petite fille pixelisée. C'est le début de l'aventure pour la bande, il est temps de réagir, de cesser de subir. Que ferait les super-héros ?
Une histoire pleines de références (que je n'ai pas toutes comprises mais c'est pas grave), de l'humour, un rappel (même si on en avait pas besoin ) des capacités de cruautés de l'être humain par peur de l'inconnu. Très prenant, intriguant et on a hâte de lire la suite.
Et si tout le monde vous manipulait ? Et si, à force de croire, l'humanité avait la possibilité de se représenter ses croyances, de les rendre réelle ? Alors ne faudrait-il pas que certaines personnes s'assurent que l'on croit en des choses réelles? Mais si nos croyances changent la réalité,
alors qu'est-ce qui est réel ? C'est à cette question que devra tenter de répondre Cole Turner...
Avec aisance et finesse, James Tynion IV, servi par le graphisme hanté de Martin Simmonds, nous amène dans les méandres des thèses complotistes des années Trump. Il revient sur des siècles de doute et de révolte et plonge nos héros au cœur de la folie humaine. Le comics à découvrir d'urgence !
C'est une chouette histoire, pas mal de représentations !
Et enfin un peu de corps réalistes, c'est encore si rare !
Et ce même dans une histoire sur fond de super-héros.
Ça parle d'amour, d'amitié, de relation avec les parents, d'adolescence, et de la difficulté de s'accepter quand sa
mère est une superbe super-héroïne adulée de tous.
Le quotidien de tout un chacun quoi.
J'ai adoré.
Oubliez ce que vous pensiez connaître de la relation entre le Joker et Harley Quinn…
Harleen Quinzel est une profileuse de renom pour la police de Gotham. Sollicitée pour une série de crimes, elle va se voir replongée dans une terrible affaire irrésolue de son passé. Qui est ce mystérieux
assassin qui s'inspire des atrocités du Joker ? L'ennemi de Batman serait-il de retour, des années après s'être évaporé ?
Un thriller prenant, une traque mortelle. Revisitez la connexion entre les célèbres personnages de DC Comics sur fond d'enquête et découvrez la naissance du pire des farceurs.
En 2084 l’humanité a presque été éradiquée de la surface de la Terre. Face à une nature terrifiante et alors que tout espoir semble perdu un message arrive du tréfonds du cosmos : 5000 élus sélectionnés au hasard seront sauvés s’ils atteignent un des points de récupération avant la
fin du compte à rebours.
Ainsi donc prennent la route Tala et son petit frère Hototo, porteur d’un des précieux sésame, afin d’atteindre l’une de ces étranges balises.
Récit crépusculaire sur la fin de notre civilisation, We Live y aborde le monde de demain, incarné à la fois par les enfants mais aussi par une faune et une flore tantôt étrange, tantôt terrifiante mais toujours sublime et semblant enfin ne plus être victime de nos actes.
Face à elle l’humain semble perdu, violent, essoufflé et prêt à toutes les horreurs pour ne pas voir en face sa propre fin.
Néanmoins les 5000 enfants portent en eux un infime espoir de salut, même si, pour cela, il leur faudra survivre au plus dangereux des voyages…
Ce nouvel opus de la série White Knight met en avant la talentueuse Harley Quinn !
Ce personnage aux multiples talents à bien évolué depuis le début de la série, maintenant que Bruce Weyne est en prison, c'est à elle de mener l'enquête avec le GTO.
Un dessin toujours aussi exquis, des personnages
qui continuent de se développer, plein de rebondissements, ce comics est un vrai régal !
Dans la famille CHU, je voudrais... la petite sœur.
La famille Chu est pleine de surprise, si on connaît déjà le grand frère Tony, on connait aussi la sœur Toni, et leurs dons, Tony est cibopate, et inspecteur de police.
Safrane elle, est Cibopar, mais aussi criminelle. Elle essaye désespérément
de se sortir d'un mauvais pas, tout en évitant le flair des membres de sa famille...
Pour ceux qui ne connaîtrait pas encore le fameux Tony CHU, cette nouvelle collection (gargantuesque) est arrivée ! N'hésitez plus, laissez-vous tenter !
L'inspecteur Tony Chu est... bizarre, tout d'abord, c'est un cibopathe.
Non non pas un psychopathe ! Encore que …
Tony Chu élucide
des meurtres en mangeant.
Oui en mangeant ! Quoi ?
Et bien c'est là que ça se corse... Son don lui permet de savoir ce qui est arrivé... à ce qu'il mange !
Dans un monde où manger du poulet est à la fois dangereux et illégal, Tony est un peu un marginal, mais peut-être n'est-il pas le seul ?
Une série que j'ai dévorée ! Et que je recommande chaudement.
Croquemitaines est une petite pépite qui ne ressemble à rien d'autre !
À la fois conte fantastique, récit d'horreur et parcours initiatique, c'est un comics qui ne se lit pas : il se vit. L'univers est fascinant, on ne peut que se laisser transporter par l'histoire de ce petit garçon et de son
redoutable protecteur. C'est tout un folklore qui est brillamment réinventé avec des créatures impressionnantes et un « Père-la-mort » génialissime. C'est sombre, mais aussi plein d'émotion. Et les dessins... des planches superbes !
Un véritable coup de foudre !
Je n'avais jamais lu de Venom (ni vu le film).
Mais à ce prix là, je me suis dis qu'il fallait se lancer !
Et j'ai bien fait. Venom c'est l'ensemble de Eddie Brock et de son « autre », un symbiote mystérieux venus de très loin.
C'est une histoire qui ne commence pas dans ce tome, mais
ce n'est pas du tout un problème. Et les informations nécessaires sont toujours données.
Alors lancez-vous. Personnellement, c'est décidé je trouve cette arche géniale, je veux en savoir plus sur Venom et sur les autres Symbiotes !
Batman est allé trop loin, et il n’écoute plus personne. Jack Napier a décidé de montrer à Gotham que le « héro » est loin d’en être un et qu’il peut, lui, sauver la ville de la corruption.
Qui est Jack Napier ? C’était le Joker. Le Joker n’est plus. Mais il est bien décidé
à mettre Batman derrière les barreaux.
Un épisode génial de nuances, de mélange de bien et de mal.
Et qui donne du fuel à mes sentiments (plutôt négatif) pour Batman.
Un peu de remise en question pour ceux qui se croient au-dessus des lois c’est pas mal !
Un Superman brisé, décide que « trop c’est trop » et qu’il est temps qu’il utilise ses pouvoirs, pour changer vraiment le monde et pas juste pour arrêter quelques petits criminels par-ci par-là.
Au départ, j’étais plutôt d’accord avec lui, de quoi il se mêle aussi Batman ? (Je
n’aime toujours pas Batman hein, y’a rien à faire…)
Une version un peu différente de « Civil War » si vous voulez, de Batman contre Superman, dans une guerre où prendre partis n’est jamais simple.
LA question reste toujours celle du libre-arbitre, et la fin justifie-t-elle vraiment les moyens ?
(titre original : Night of the living Deadpool. Bien plus Catchy !)
Après un coma, dû à un « all you can eat » buffet, Deadpool se réveille dans son restaurant préféré, au milieu d’une apocalypse zombie.
Plein de références à tous les films de zombies qu’on adore ! (Et par « on »
je veux dire moi )
Beaucoup d’humour.
J’ai passé un excellent moment !
Si vous aviez aimé les Locke and key, n’hésitez pas à lire les hors-séries !
La première en particulier. Si les histoires de cette maison sont souvent sombre, celle-ci est son côté lumineux.
Bienvenue dans Keyhouse, dans la ville de Lovecraft, cette fois en 1912, alors que le père Locke,
tente comme il peut de prolonger la vie de son fils mourant. Et de lui offrir une chance de vivre une aventure fantastique, avant qu’il ne soit trop tard. Une belle histoire, pleine de poésie fantastique (et steampunk aussi).
J’ai beaucoup aimé.
Suivie de Grindhouse, beaucoup moins poétique. Mais j’aime quand les bourreaux se retrouvent les victimes ! Muahahaha !
Peony est une terrienne, elle adore la pâtisserie, et travaille dans un café. La vie est simple, et douce, sauf que la voilà repérée par hasard par une alien qui travaille sur le plateau de l'émission : « Space Battle Lunchtime » !
La voilà recrutée (enlevée !) par une extraterrestre
pour participer à un top chef de l'espace, où elle devra cuisiner des produits extraterrestre qu'elle ne connaît pas.
Une histoire absurde, drôle, et avec une histoire saphique à la clef !
Pendant la grande guerre, la mode des super-héros en costumes est aux États-Unis en pleine expansion, incitant plusieurs individus à porter le masque afin de rendre la justice dans les rues. Ces héros masqués se sont regroupés en une groupe de vigilants se faisant appelée les Minutemen.
Réunissant
les séries "Before Watchmen Minutemen", "Compagnon", "Le comédien", "Le hiboux" et "Rorschac", déjà sortis à l'unité, cette intégrale nous plonge dans la noirceur des personnages originels de l'équipe Minutemen (première équipe à l'origine des Watchmen). On y découvre des héros très peu reluisants et torturés, des Némésis faibles et pathétiques, des personnages "second couteau" mais finalement plus héroïques qu'ils n'y paraissent. Plusieurs histoires, même si la qualité du récit est y parfois inégale pour certaines, font enfin la lumières sur le passé obscure de plusieurs personnages.
Découvrez les origines de la famille Wayne et les lourds secrets que dissimule Gotham, la célèbre ville de Batman.
Vous y découvrirez un nouveau méchant plus dangereux que jamais !
La suite de "White knight" est explosive, pleine de révélations et d'actions le tout servi avec un dessin extraordinaire
!
PS : vous pouvez le lire sans avoir lu le premier tome.
Je me suis entendue dire il n'y a pas si longtemps « je ne suis pas fan de Batman, je le trouve si arrogant ». J'avais un énorme préjugé sur l'homme chauve-souris, et son alter-égo le pauvre riche milliardaire. Mais je dois bien dire que la cour des hiboux a été un vrai bouleversement dans mes a priori ! C'est un récit très complet, qui peut se lire sans connaître précisément les comics de Batman, et dans lequel je me suis retrouvée plongée dès les premières pages. La moral de cette histoire sera : Ne jugez pas un richissime super-héros à sa couverture !
Un récit complet, que j'ai apprécié du début à la fin, qui reprends l'histoire de Diana de façon chronologique, en centrant moins sur les super-héros et super-villains, et d'avantage sur le côté divin, voir mystique parfois, ce que j'ai trouvé original et agréable.
On a ici une Wonder Woman
qui n'est pas présentée sous des airs naïfs, et bien qu'on sente poindre une romance possible... Ce n'est pas vraiment le sujet.
Diana est une héroïne géniale ! Et si j'avais des a priori, ils se sont très vite envolés pendant ma lecture. On nous offre des personnages féminins forts et complexes, et une véritable histoire.
Je l'ai dévoré. Je vous le conseille ! Wonder Woman est maintenant une de mes préférées !
Superman est le héros le plus emblématique de l'univers DC. Mais ici les scénaristes imaginent que ce n'est pas au Kansas, dans la famille Kent, qu'il débarque, mais au pays de Staline.
Imaginez les conséquences...
Dans un univers entre la nouvelle série et l'ancienne, « Sabrina, l'apprentie sorcière » s'offre une nouvelle jeunesse.
Ni une suite, ni un reboot. Abordez-la comme une nouvelle série tout simplement. Un dessin et des couleurs agréables et modernes, tout comme les personnages, principaux et
secondaires. Finalement c'est un comics qui a gardé tout ce que j'aimais des deux séries. Parfait !
Je retrouve la chaleur des rapports avec les tantes et avec Salem, on perd le côté un peu trop « dark » parfois de la nouvelle série, on garde le côté féministe, et plus actuel.
Une belle idée et très bien orchestrée !
Harleen est brillante, empathique, ambitieuse. Pourtant, le Joker en a fait une machine de guerre haute en couleurs et... décérébrée ? Comment ?
S.Sejic nous offre un comic superbe ! Le cheminement d'Harleen est crédible, son basculement évident. On est sur une œuvre mature, psychologique,
soignée. Et on jubile d'avoir une telle dramaturgie en mains ! Le dessin très "numérique" peut surprendre. Il est cependant travaillé et réaliste : les expressions des personnages sont incroyablement vivantes. À découvrir sans réserve !
Avant de devenir Harley Quinn, elle était Harleen Quinzel, une jeune psychiatre, dont le souhait le plus cher était d'aider les criminels à retrouver leur empathie perdue.
Mais voilà qu'alors qu'elle croit déceler des émotions chez le Joker, elle se fait en fait manipuler...
C'est un récit
très humain que nous propose l'auteur, un beau dessin, mais aussi très réaliste.
La naissance de la célèbre Harley Quinn !
Quand ils se rencontrent, Alana est gardienne de la prison où Marko, ancien soldat, est prisonnier. Leurs deux espèces sont en guerre, et ce depuis des générations déjà. S'ils ne savent pas bien pourquoi, ils ont appris à se détester depuis toujours, mais voilà, la passion ça ne se contrôle
pas.
On a l'histoire d'amour shakespearienne. Reste l'aventure. Non content de tomber amoureux, Alana va se retrouver enceinte, improbable que ces deux espèces si différentes soient compatibles ?
Mais surtout très dangereux parce que chacun veut mettre la main sur leur progéniture. Que ce soit pour tenter de mettre fin à la guerre ou au contraire pour la prolonger.
J'ai aimé Saga passionnément, et ce tout de suite. On trouve de tout dans cette série !
On a des personnages attachants, des histoires d'amour, des amitiés originales, du sexe, beaucoup de caractère, et un langage fleurie (surtout Alana ! Je l'adore!).
Clairement, Saga n'est pas une série pour enfant.
Mais c'est vraiment une série dont je n'ai entendu que du bien !
Lancez-vous !
Quel plaisir d'avoir un tome 1 fabuleux, et une suite a sa hauteur !
la suite des aventures de la famille Jenkins ne manque pas de rebondissement ! On creuse un peu plus dans leur sombre histoire familiale tandis que l'intrigue principale tiens son suspens à son comble !
Buffy Summers est de retour dans un reboot génial créé par Jordie Bellaire et Dan Mora (sous la houlette de Mr Whedon).
L'héroïne de mon adolescence revient pour de nouvelles aventures qui se déroulent à notre époque, une Buffy 2.0, toujours aussi forte, super cool mais encombrée par son héritage
de Tueuse qui l'empêche d'être une jeune fille comme les autres.
Elle est accompagnée bien sûr de Xander, Giles et d'une Willow sûre d'elle, dynamique et qui assume pleinement son homosexualité (l'évolution la plus intéressante de l'histoire).
On retrouve également plein de personnages secondaires et les lieux de la série d'origine, qui s'intègrent parfaitement au nouveau scénario.
L'ambiance est sombre à souhait, illuminée par des touches d'humour très bien dosées. L'intrigue se met doucement en place jusqu'à la dernière case qui m'a filé des frissons... ça donne vraiment envie de lire la suite!
Les dessins sont super chouettes, très vivants et réalistes surtout en ce qui concerne les visages des personnages.
Quand le père de famille est assassiné, la famille Locke est forcée d'aller habiter Key House, un manoir effrayant dans lequel leur père a grandit.
Ils pensent alors tourner la page, prendre le temps de se remettre. Mais Key House cache de nombreuses clefs, et les portes qu'elles ouvrent... auraient
sans doute dues rester fermées...
Un petit bijoux de fantastique et d'horreur. Écrit par le digne fils de son père (Stephen King) dans un registre bien à lui.
A dévorer !
A été adapté récemment sur Netflix. Une série sympas, pas si mal ( je m'attendais à pire) mais pas vraiment à la hauteur du comics.
Si la série est un peu soft, voire tiède et orientée plutôt ado, la bande-dessinée est glaçante et vous prendra aux tripes.
Le retour de Buffy, pour ceux qui n'ont pas connu la série, mais aussi pour ceux qui l'ont connue et aimée. Buffy, Willow et Alex, se rencontrent, deviennent amis, Buffy est « la tueuse » donc une chasseuse de vampires pour ceux qui ne connaissent pas. Mais cette fois l'action prend place de nos
jours, donc ils sont équipés de smartphones (même Spike sait écrire un texto !), Willow n'est plus la créature fragile qu'elle était, elle est "sassy", sortie du placard et un peu punk, je l'aime encore plus.
Et nous retrouvons toujours l'humour que nous aimions tant.
Un coup de jeune réussi pour cette série culte ! Ça aurait pu être mauvais, ça aurait été facile de se planter, mais vraiment chapeau ! Je suis convaincue !
Batman, aujourd'hui véritable icône de la pop culture, a fait sa première apparition en 1938 dans le mensuel Detective Comics n°27. En 82 ans, il aura été incarné par bien des acteurs au cinéma (Micheal Keaton, Christian Bale, Ben Affleck) et à la TV (Kevin Conroy, Adam West), conté par bien
des scénaristes (Bob Kane, Marv Wolfman, Ed Brubaker, Jeph Loeb, Scott Snyder, Grant Morrison) dessiné par bien des illustateurs (Neal Adams, Greg Capullo, Frank Miller, Jim Lee, David Finch, Alex Ross, Lee Barmejo) subi bien des changements physiques et costumiers et véhiculé bien des messages d'espoir.
Pour certains, il reste le Chevalier Noir des comics, celui qui consacre sa vie à venger la mort de ses parents. Pour d’autres encore, c’est une figurine LEGO, un personnage de dessin animé ou de jeux vidéo. Ce qui vous est présenté dans ces 400 pages n'est ni plus ni moins que TOUTE son histoire, TOUT Batman.
Un magnifique ouvrage pour les fans du Chevalier Noir ayant la fibre nostalgique ou les profanes curieux de connaître le personnage et l'envers du décor. Introduit par Kevin Conroy, l'acteur qui doublât Batman la série animé, et Michael Keaton, le premier Batman au cinéma réalisé par Tim Burton, il présente dans un format luxueux de somptueuses illustrations de l'univers de Gotham City comme vous ne l'avez jamais vu, raconté par les plus grands noms du comics.
En somme, un MERVEILLEUX CADEAU de Noël.
L'univers de Batman s'associe de plus en plus aux codes de l'horreur psychologique. Damned en est la preuve. Dans ce comics, le chevalier noir se confronte à la sorcellerie en compagnie du provocateur John Constantine. Hantée par une étrange entité, la chauve-souris doit lutter pour démêler le vrai du faux, la réalité de l'illusion. De magnifiques planches torturées attendent les lecteurs avertis qui souhaitent se perdre dans une Gotham méconnaissable et menaçante.
Scott Free est ce qu'on appelle un maître de l'évasion. Aucun lien, aucune prison ne l'arrête.. Hormis celle de la mort elle-même ?
Puissant, drôle, déchirant et même un peu philosophique, la version Tom King de Mister Miracle prend aux tripes et frappe juste. Là où beaucoup essaient d'humaniser
leurs super-héros, Gerads et King montre un homme dépassé par ses capacités, par son passé et ce présent qu'il n'arrive pas à fuir. Et mine de rien, ça change beaucoup de choses...
Un one-shot fascinant pour (re)découvrir l'univers sans limite du Quatrième Monde.
A Lovecraft, une petite bourgade perdue de Nouvelle Angleterre, le manoir Keyhouse surplombe mystérieusement la ville de son imposante stature. Solide, grand, beau et ancien, c'est le refuge que choisira la famille Locke après le meurtre brutal du père de famille. Le petit Bode, sa soeur Kinsey et
leur grand-frère Tyler emménagent ainsi malgré eux avec leur mère dans l'étrange demeure. Une occasion de tout reprendre à zéro et de faire leur deuil.
Pourtant, chaque jour dans ce manoir offre son lot de bizarreries, et c'est le petit Bode qui en sera le premier témoin. Clés énigmatiques, portes mystérieuses, voix chuchotantes... la famille Locke va devoir cohabiter avec une entité bien plus indicible et vicieuse qu'ils ne pourront jamais l'imaginer.
Joe Hill et Gabriel Rodriguez nous présentent un univers aussi impitoyable qu'addictif. Le graphisme est magnifique, le scénario bien mené et l'horreur se diffuse efficacement page après page. Une histoire en 6 tomes qui ravira les amoureux du genre et nous fait impatiemment espérer une collaboration prochaine...
Dans une uchronie, dans des années 80 crépusculaires hantées par la bombe atomique, la guerre froide et la guerre du Vietnam, les Watchmen, composés de Rorschach, le Hibou, Ozymandias, le Spectre Soyeux, le juge et le Comédien, ne sont plus que des justiciers masqués vieillissants forcés à une
retraite amère, des mercenaires au service du gouvernement ou des entrepreneurs reconvertis. Tout l’avenir de la Nation repose alors sur les épaules d'un surhomme : Jonathan « Jon » Osterman. Engendré par un accident survenu lors d'une expérience atomique, celui que l'on surnomme le Dr Manhattan repousse le concept même de super héros tant ses pouvoirs sont immenses, il est omnipotent, omniscient, visionnaire... Pour autant, la société américaine est en crise, l'insécurité gangrène les rues et les relations avec l'URSS sont explosives, au point que chacun s'attend à un holocauste nucléaire imminent.
Aussi, suite à l'assassinat du Comédien, un des anciens Watchmen a conservé son idéal entier, Rorschach, une sorte de justicier expéditif, à la morale sélective, psychotique et pourchassé par la police. Il va alors enquêter sur ce meurtre auprès des Minutemen, l'ancienne équipe de justiciers, et découvrir l'effroyable vérité.
Watchmen est une œuvre majeure, non seulement pour ses qualités propres au polar, son côté sombre, dur, réaliste (qui donne toute sa vraisemblance à cet univers parallèle DC Comics) mais également pour son impact sur l'histoire du comics. Il livre ainsi une trame dense, un ton cynique, une ambiance sombre et aseptisée (grâce aux dessins de Dave Gibbon) avec des personnages riches en profondeur, tout en faisant au cours de récit un parallèle moralisateur avec une histoire de pirates ("Les contes du vaisseau noir") lu par un des personnages. Alan Moore (l'auteur de V pour vendetta), va réussir le tour de force de faire entrer les comics dans l'âge adulte.
Ainsi, "Who watches the Watchmen ?" ("Qui surveille les gardiens ?"), est la question qui revient dans le récit, comme un leitmotiv, et qui résume parfaitement les interrogations politiques, voir métaphysiques de l'auteur. Ces justiciers sans pouvoirs s'avèrent angoissés et moralement ambigus, au point que l’ambition d'Alan Moore est ici de se débarrasser du côté manichéen et naïf du genre en entamant une réflexion politique sur le super héros et sur le pouvoir - plus que sur les super pouvoirs-, et en filigrane, de critiquer les détenteurs de pouvoir.
Avec la sortie imminente de la série TV Watchmen, Urban Comics propose cette luxueuse édition annotée et réalisée par l'écrivain, éditeur et analyste littéraire Leslie S. Klinger. Spécialisé en littérature britannique, Klinger s'est fait connaître pour ses annotations sur Sherlock Holmes, Dracula ou les œuvres d'H.P. Lovecraft ainsi que sur le remarquable Sandman de Neil Gaiman. Proposée avec une préface de Dave Gibbons et les planches originales somptueusement remaniées en noir et blanc, l'édition comprendra l'intégralité des douze numéros de Watchmen enrichis de longs paragraphes explicatifs sur le texte, les influences, références et idées proposées par Alan Moore.
Cette édition très détaillée profite d'un réel travail de recherche de l’œuvre et le style de Moore, et donnera aux néophytes des clés de compréhension supplémentaires aux différents renvois historiques ou symbolistes auxquels Watchmen fait référence.
Si vous aimez la campagne, l'agriculture, les monstro-plantes et les expériences étranges, ce comics est fait pour vous !
une scénario superbement ficelé, du suspense bien dosé, une touche d'humour : ce premier tome promet une saga folle en rebondissement !
On à hâte de voir germer la suite
de cette excellente BD !
Bienvenue dans la Ville, dans un futur cyberpunk indéterminé. Bienvenue dans le quotidien du cynique et déchaîné journaliste Spider Jerusalem, quotidien qu'il a quitté cinq ans plus tôt pour vivre en ermite et qu'un vieux contrat avec son éditeur le contraint à retrouver. Obligé à écrire
deux livres en une année, ce violent adepte de la vérité va avoir fort à faire pour se dresser de nouveau contre l'injustice et la corruption !
Warren Ellis livre ici l'un de ses travaux les plus aboutis, avec son anti-héros plein de vices affreusement attachant, son humour noir décapant et sa vision du monde désabusée. Un must-have qui déchaîne les passions !
Bienvenue dans la cité des filles perdues, ici les familles ne sont pas en sécurité et les femmes en particulier disparaissent en grand nombre...
Le danger vient des coyotes. Des loups féroces et cruels qui attaquent les femmes dans les rues...
Mais que se cachent-il derrière ce fléau ?
Une
histoire fantastique, drôle (si si quand même !), avec des personnages féminins forts et intéressants, un dessin agréable (même quand il est sanglant). Et de belles idées défendues.
Un moment de lecture qui m'a souvent fait sourire, notamment parce que pas mal des femmes fortes de ce livre ont une forte tendance à la vulgarité.