Neil Jordan est un réalisateur, producteur, scénariste irlandais, connu pour la série à succès « Les Borgia ».Mais, en littérature, c’est un novice. Il nous livre ici son 1er roman.
L’histoire se déroule à Dublin. Elle débute, de nos jours, à l’enterrement de Gérald. Dans la foule, se trouve Kévin qui ressemble étrangement au défunt et qui raconte toutes les péripéties causées ou provoquées volontairement par cette ressemblance. On plonge alors dans le Dublin des années 50 et l’on suit les parcours de ces 2 garçons, issus de milieux sociaux différents, qui se
croisent souvent. Le roman relate des souvenirs drôles (Il est fréquent qu’ils partagent la même fille qui ne se doute de rien, tant les 2 hommes se ressemblent). Mais un drame va survenir qui va les éloigner à tout jamais.
J’ai de suite accroché au roman. Les anecdotes, les seconds rôles (notamment la mère ou Darragh), le cadre (la maison voisine de celle de Kévin a appartenu à Bram Stoker, l’écrivain de Dracula), le rythme (une succession de chapitres courts) rendent la lecture très agréable. Et le thème du double est toujours fascinant ! Mais, ensuite, l’attrait diminue car il ne se passe pas grand-chose de nouveau (le coup de la fille revient à de multiples reprises !) et l’on attend longtemps le drame annoncé qui survient 50 pages avant la fin…un peu tard à mon goût ! Une belle découverte cependant.
Une belle découverte
Neil Jordan est un réalisateur, producteur, scénariste irlandais, connu pour la série à succès « Les Borgia ».Mais, en littérature, c’est un novice. Il nous livre ici son 1er roman.
L’histoire se déroule à Dublin. Elle débute, de nos jours, à l’enterrement de Gérald. Dans la foule, se trouve Kévin qui ressemble étrangement au défunt et qui raconte toutes les péripéties causées ou provoquées volontairement par cette ressemblance. On plonge alors dans le Dublin des années 50 et l’on suit les parcours de ces 2 garçons, issus de milieux sociaux différents, qui se croisent souvent. Le roman relate des souvenirs drôles (Il est fréquent qu’ils partagent la même fille qui ne se doute de rien, tant les 2 hommes se ressemblent). Mais un drame va survenir qui va les éloigner à tout jamais.
J’ai de suite accroché au roman. Les anecdotes, les seconds rôles (notamment la mère ou Darragh), le cadre (la maison voisine de celle de Kévin a appartenu à Bram Stoker, l’écrivain de Dracula), le rythme (une succession de chapitres courts) rendent la lecture très agréable. Et le thème du double est toujours fascinant ! Mais, ensuite, l’attrait diminue car il ne se passe pas grand-chose de nouveau (le coup de la fille revient à de multiples reprises !) et l’on attend longtemps le drame annoncé qui survient 50 pages avant la fin…un peu tard à mon goût ! Une belle découverte cependant.