Deux histoires se croisent en chapitres alternés. D'abord celle de Charlotte Rittenmeyer qui par amour, ou plutôt par passion, quitte son mari, ses enfants et une vie plus que confortable pour un artiste fauché et une vie de misère. Par ailleurs, un forçat, au hasard d'une crue du Mississippi, se découvre sauveteur et héros mais n'a qu'un seul but, retrouver la routine de son pénitencier.
Je dois confesser que je n'ai rien aimé dans ce livre, ni sa construction, ni son style, ni ses personnages. Je n'ai rien ressenti durant ma lecture. Aucune des deux histoires, pourtant tragiques,
ne m'a émue. J'ai trouvé le style lourd et emprunté. Je me suis ennuyée à mourir et j'ai terminé en lisant en diagonale. Mais après tout, qui suis-je pour critiquer William FAULKNER...?!
Les palmiers sauvages
Deux histoires aux chapitres croisés. Deux textes aux tonalités distinctes. Deux textes sur l'amour, la solitude et la douleur. Deux histoires sur des êtres brisés.
Que dire de plus ? Je ne trouve que ceci : « Palmiers sauvages », le premier des deux récits, est une des plus belles et déchirantes histoires d'amour jamais écrites.
Le deuxième récit, en contrepoint, nous permet de reprendre le souffle et d'affronter à nouveau la dure réalité. Avec, peut-être, l'ironie du vaincu.
À lire, ou à relire, lucides, l'émotion à fleur de peau. Aux tripes.