Neuf petites oeuvres d'Alexandre Dumas N° 1996 - Poche

L'invitation à la valse

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Alexandre Dumas - Neuf petites oeuvres d'Alexandre Dumas N°  1996 : L'invitation à la valse.
Une comédie en un acte. Quadrille éblouissant (une jeune veuve, sa petite sœur, leur grand cousin, capitaine de spahis, et un avocat) d'où surgit... Lire la suite
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Résumé

Une comédie en un acte. Quadrille éblouissant (une jeune veuve, sa petite sœur, leur grand cousin, capitaine de spahis, et un avocat) d'où surgit à la fin le " mystère " de l'amour.

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/10/1996
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-7152-1970-9
  • EAN
    9782715219700
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    89 pages
  • Poids
    0.065 Kg
  • Dimensions
    10,0 cm × 16,0 cm × 0,7 cm

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L'éditeur en parle

Texte choisi et préfacé par Jean Thibaudeau

À propos de l'auteur

Alexandre Dumas

Biographie d'Alexandre Dumas

1802-1823.
Enfance et jeunesse. Les années provinciales. Fils d'un général républicain, lui-même fils d'un hobereau normand et de son esclave noire, Alexandre Dumas-Davy de La Pauleterie connaît, à Villers-Cotterêts, une enfance heureuse, endeuillée par la mort du père (1806) et la gêne sinon la misère. Après des études aléatoires, il devient clerc de notaire, mais rêve de Paris et de gloire littéraire. 1823-1829. Les années de l'apprentissage parisien. Il parvient à obtenir une place de surnuméraire, puis d'employé dans les bureaux du duc d'Orléans ; il fréquente les milieux impériaux et libéraux, mettant au point une stratégie de conquête qui, après la première représentation d'Henri III et sa cour (10 février 1829), fait de lui l'un des généraux du mouvement romantique, qui livrent une suite de batailles contre les classiques. 1829-1832. Les révolutions littéraire et politique. Surpris par la révolution de 1830, Dumas se jette dans le mouvement avec enthousiasme, mais est déçu par la curée bourgeoise. Sa production est marquée par les premières collaborations et le passage de la Comédie-Française au Boulevard, et par une violence qui s'exprime dans Antony, pièce phare de la génération romantique. 1832-1840. Dumas prosateur. Après quelques échecs, il se détourne peu à peu du théâtre, voyage (Suisse, midi de la France, Italie, royaume des Deux-Sicile, Allemagne) et découvre, en rédigeant ses Impressions de voyage, la "verve " de sa prose, qu'il met en œuvre dans des chroniques historiques. 1840-1848. La (presque) décennie prodigieuse. Il découvre le roman-feuilleton avec le Capitaine Paul (1838). Après l'extraordinaire succès des Trois Mousquetaires, écrit en collaboration avec Auguste Maquet, il conçoit le "Drame de la France ", suite de romans rendant compte pour le peuple de son histoire. Il jouit d'une popularité immense, qui se double d'un rejet des instances officielles de la littérature : pamphlets, accusation contre la " littérature industrielle ". Le Théâtre-Historique dont il a obtenu le privilège triomphe avec des adaptations de ses romans. Il s'installe dans son château de Monte-Cristo. 1848-1853. La Révolution et l'exil. La révolution entraîne la faillite personnelle de Dumas, qui a vraiment tenté de se faire élire député ; il doit s'exiler à Bruxelles, où il accueille tous les proscrits du coup d'Etat. Comme il envisageait la fin de sa carrière romanesque, Dumas rédige et publie ses Mémoires. Son fils triomphe avec La Dame aux Camélias, 1852. 1853-1860. La reconquête impossible. De retour à Paris (1853), il lance Le Mousquetaire, quotidien artistique et égotiste dont il rédige, dans un premier temps, la majeure partie, puis le Monte-Cristo, hebdomadaire (1857). Malgré un roman remarquable, Les Compagnons de Jéhu, Dumas monnaie essentiellement son nom. Après un long voyage en Russie (1858-1859), il signe un contrat avec Michel Lévy qui devient son éditeur exclusif (1859). L'argent touché lui permet d'acquérir un yacht avec lequel il entreprend de réaliser un voyage de découverte de la Méditerranée, longtemps caressé. 1860-1864. Dumas napolitain. Il croise Garibaldi et l'expédition des Mille, qu'il rejoint à Palerme ; à Naples il est nommé directeur des Musées et Fouilles et fonde l'Independente, plus garibaldien que Garibaldi, qui, après le départ du dictateur, va s'efforcer de lutter contre la contre-révolution et contre la camorra. Il écrit La San Felice, roman pour La Presse, et s'engage dans une dernière reconquête de Paris. 1864-1870. La bohème finale. Mais la tentative tourne court : ses entreprises journalistiques durent peu ; il peine à placer des romans, qu'il n'achève pas, et ses articles. Le succès de sa "Causerie sur Eugène Delacroix " le pousse à parcourir la France et l'étranger (Belgique, Autriche) pour s'y produire au cours de conférences qui prennent pour thèmes des épisodes de sa vie (1865). Il s'enfonce dans l'érotomanie et la maladie : de sa fille Marie - qui vit près de lui, boulevard Malesherbes - dissimule, tant qu'elle peut, la déchéance de son père. Après un long séjour en Espagne, il s'en vient mourir à Puys, près de Dieppe, dans la maison de vacances de son fils.

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