Lettres mortes - Grand Format

Michel André

Extrait

"Lettres mortes" sont celles que l'on écrit, mais que l'on n'envoie pas ; plus mortes encore, celles que l'on a en tête et que l'on n'écrit pas...... Lire la suite

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"Lettres mortes" sont celles que l'on écrit, mais que l'on n'envoie pas ; plus mortes encore, celles que l'on a en tête et que l'on n'écrit pas... Les bouts de lettres constituant l'ossature du présent récit relèvent des deux catégories : en parties écrites, elles ne seront jamais achevées, ni a fortiori envoyées ; ce sont en quelque sorte des lettres "mort-nées"... La réalité fuyante qu'elles tentent d'évoquer - "le temps qui passe"- paralyse au bout de quelques lignes la plume de l'épistolier, lequel n'en continue pas moins le fil de son récit et de ses réflexions, parallèlement à ce fleuve bien réel qu'est l'Yonne à hauteur de Joigny.
" Qu'est-ce que le temps ? " est ici la question de fond, pour laquelle Aristote et Héraclite sont mis à contribution, de façon sans doute abusive. Le Temps, pour sa part, poursuit son implacable "petit bonhomme" de chemin...

Date de parution

13/01/2016
Editeur

Books on Demand
ISBN

978-2-322-03817-6
EAN

9782322038176
Format

Grand Format
Présentation

Broché
Nb. de pages

104 pages
Poids

0.161 Kg
Dimensions

14,8 cm × 21,0 cm × 0,6 cm

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Biographie de Michel André

L'auteur, né en 1930, a vécu ses premières années au bord de l'océan, puis la plus grande partie de sa vie scolaire et professionnelle en région parisienne ; a commencé d'écrire dès sa quinzième année : des récits plus moins autobiographiques, plus ou moins achevés, sur fond de réflexion "philosophique". Ses tentatives auprès de plusieurs maisons d'édition pour qu'elles se chargent de publier certains de ses projets ont suscité parfois chez celles-ci des frémissements d'intérêt prometteurs, mais jamais ce déclic décisif qui eût fait de lui un "écrivain" en titre.
Il a donc dû se résigner (comme beaucoup d'autres "refusés") à une vie socio-professionnelle plus ordinaire, moins exaltante, sans cependant jamais cessé d'écrire. Il en est résulté une abondante production au format A4, dont il pensait qu'elle resterait enfouie dans ses tiroirs, mais dont l'autoédition, aujourd'hui, lui permet d'extraire ce qui lui semble être le meilleur et d'en tirer cinq six volumes qui constitueront ses ouvres complètes.