Littératures autochtones - E-book - PDF

Note moyenne 
Littératures autochtones explore différents espaces littéraires autochtones: discours sur leur communauté et regards sur le monde. Du Maroc au Québec/Canada,... Lire la suite
16,99 € E-book - PDF
Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants :
Bientôt disponible
Recevez un email dès que l'ouvrage est disponible

Résumé

Littératures autochtones explore différents espaces littéraires autochtones: discours sur leur communauté et regards sur le monde. Du Maroc au Québec/Canada, de la Polynésie française à la Nouvelle-Calédonie, revisitons les lieux imaginaires, les pensées et les formes qui ont longtemps nourri les territoires et les vies. Histoires littéraires. Traces et mémoires. Analyses et réflexions critiques.
Cet essai, qui rassemble chercheurs, enseignants et créateurs, est le tout premier du genre en langue française à présenter une vision globale sur les littératures autochtones.

Caractéristiques

  • Date de parution
    09/08/2010
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-89712-128-0
  • EAN
    9782897121280
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    288 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      288
    • Taille
      2 468 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos des auteurs

Maurizio Gatti est chercheur. Il enseigne et a publié entre autres deux anthologies sur les écrivains autochtones du Québec. Louis-Jacques Dorais est chercheur. Il enseigne l'anthropologie et la langue inuit à l'Université Laval (Québec). Abdallah El Mountassir est professeur au Département d'Études Amazighes de l'Université d'Agadir. Lui-même amazigh, il participe depuis quelques années à la formation des enseignants de l'amazigh. Linguiste de formation il est titulaire de deux doctorats.
Il est l'auteur d'un dictionnaire de verbes berbère/français et d'une méthode pour apprendre le berbère (tachelhit du sud-ouest du Maroc). Il a également rassemblé une anthologie de chants et de poèmes amazighs du sud-ouest du Maroc. Natacha Gagné est professeure au Département de sociologie et d'anthropologie de l'Université d'Ottawa. Anthropologue, ses recherches portent sur les Maaori de Nouvelle-Zélande et les Ma'ohi de Polynésie française.
Elle a intégré depuis des années dans ses cours la lecture d'écrivains originaires de ces régions. Ali Iken est un écrivain amazigh du Maroc, un traducteur et un grand amateur de poésie et de linguistique. Il est un des premiers à avoir écrit un roman en amazigh au Maroc : Asekkif n Inzaden (1992). Le manuscrit de ce premier roman amazigh marocain s'est mérité le Prix de création littéraire Mouloud Mammeri en 1995.
Iken est engagé depuis longtemps dans l'étude, la défense et la promotion de l'amazigh comme langue littéraire. Ses recherches se nourrissent en grande partie de ses connaissances des genres de la poésie traditionnelle tels les Izlan (brefs poèmes). Marie-Hélène Jeannotte est étudiante au doctorat à l'Université de Sherbrooke (Québec), où elle prépare une thèse sur l'édition des textes autochtones au Québec.
Elle a complété, en 2008, un mémoire de maîtrise portant sur la figure du Blanc dans la littérature amérindienne du Québec. Michèle Lacombe est professeure agrégée aux départements d'études canadiennes et d'études autochtones de la Trent University (Peterborough, Ontario), où elle enseigne la littérature. Elle a été rédactrice en chef du Journal of Canadian Studies/Revue d'études canadiennes.
Ses publications concernent surtout la littérature au féminin, y compris l'oeuvre de Margaret Atwood, Margaret Laurence, Alice Munro et Gabrielle Roy. Elle a fait paraître un article sur le roman Monkey Beach d'Eden Robinson dans un récent numéro de la Revue internationale d'études canadiennes consacré à la littérature amérindienne. Heather Macfarlane enseigne la littérature canadienne au département d'anglais de la Carleton University (Ottawa).
Elle a intégré la littérature amérindienne dans son corpus d'enseignement. Elle est en train d'écrire un livre qui établit une connexion entre les romans de voyage canadiens, québécois et amérindiens. Elle a également travaillé sur l'importance du souvenir dans la reconstruction de l'identité autochtone et sur les discours de plusieurs écrivains autochtones du Canada et des États-Unis sur « la mémoire génétique » ou « la mémoire du sang ». Heather Macfarlane enseigne la littérature canadienne au département d'anglais de la Carleton University (Ottawa).
Elle a intégré la littérature amérindienne dans son corpus d'enseignement. Elle est en train d'écrire un livre qui établit une connexion entre les romans de voyage canadiens, québécois et amérindiens. Elle a également travaillé sur l'importance du souvenir dans la reconstruction de l'identité autochtone et sur les discours de plusieurs écrivains autochtones du Canada et des États-Unis sur « la mémoire génétique » ou « la mémoire du sang ». Isabelle Miron est poète et professeure de création littéraire à l'Université du Québec à Montréal (UQÀM).
Elle a publié trois recueils de poèmes et un essai sur la poésie de Michel Beaulieu et Juan Garcia aux éditions Nota Bene. Son intérêt pour la poésie amérindienne l'a notamment conduite à faire partie du collectif Aimititau ! Parlons-nous !, publié aux éditions Mémoire d'encrier, et à travailler sur les oeuvres de Rita Mestokosho et de Jean Sioui. Anthropologue, écrivain et artiste ma'ohi, Jean-Marc Tera'ituatini Pambrun a été directeur du Département des traditions au Centre polynésien des sciences humaines, chef du service de la culture à la mairie de Faa'a et directeur de la maison de la culture de Papeete.
Il est actuellement directeur du Musée de Tahiti et des Îles - Te Fare Manaha. Écrivain prolifique, Pambrun est un intellectuel passionné qui défend la liberté d'expression. Il a touché à plusieurs genres littéraires: essai, pamphlet, conte, nouvelle, poésie, théâtre. En 2004, il a reçu le Prix Fiction du Salon insulaire du livre d'Ouessant pour sa pièce Les parfums du silence. Pierre Rouxel est professeur retraité de langue et de littérature au Cégep de Sept-Îles (Québec), ce qui lui a permis d'enseigner la littérature québécoise et amérindienne à plusieurs étudiants amérindiens. Fondateur du Groupe de recherche sur l'écriture nord-côtière (Grénoc) et codirecteur de la revue Littoral, il s'est penché sur la question de la création littéraire et de sa promotion dans les régions éloignées du Québec. Marie Salaün enseigne à l'Université Paris Descartes.
Ses recherches interrogent le moment postcolonial en éducation. Elle travaille sur les revendications scolaires autochtones et la manière dont les États y répondent dans le Pacifique. Née à Wendake (Québec) en 1952, Christine Sioui Wawanoloath est Wendat (Huronne) par son père et Abénakise par sa mère. Elle a grandit à Odanak, village abénaki. Elle a étudié la photographie, l'art et l'histoire à Montréal et au collège Manitou (1973).
Directrice des programmes pour le Centre d'amitié autochtone de Val-d'Or et coordonnatrice du dossier de la non-violence pour Femmes autochtones du Québec de 1992 à 2002, elle a conçu et réalisé des projets de sensibilisation et de partage de connaissances destinés aux membres des communautés autochtones. Artiste en arts visuels (tableaux, sculptures, illustration), elle est aussi auteure de contes, poèmes, nouvelles, articles et pièces de théâtre.
En 2009, elle a fondé l'entreprise Io Sazaso, images, rédaction de textes, et objets en 3D. Isabelle St-Amand est étudiante au doctorat en études littéraires à l'Université du Québec à Montréal. Elle s'intéresse aux écrivains amérindiens francophones et anglophones d'Amérique du Nord. Son travail porte plus particulièrement sur les représentations de la crise d'Oka de 1990 dans les films documentaires et les récits littéraires produits par des cinéastes et des auteurs autochtones, québécois et canadiens.
Elle offre donc un point de vue autre que celui officiel sur l'événement. Ali Khadaoui est un poète et chercheur amazigh du Maroc. Il est né dans les montagnes du Moyen Atlas marocain où il a été élevé dans la tradition orale. Il a toujours été un militant de la cause culturelle amazighe : un combat qu'il a mené par l'instruction et la poésie. Il a enseigné à la Faculté des lettres de Kénitra et dans plusieurs autres institutions.
Il a également été chercheur en anthropologie et membre du conseil d'administration de l'Institut royal de la culture amazighe du Maroc (IRCAM). Il est parmi les créateurs d'Option Amazighe, une plate-forme écrite qui résume la question amazighe et propose des solutions.

Des mêmes auteurs

Les clients ont également aimé

Derniers produits consultés