Lyon en livre, encore et toujours.
J’ai fait connaissance il y a quelques jours avec Lou Grimaud, capitaine de police en poste à Lyon, dans « L’amertume du pamplemousse », de Jean-pierre Chiron.
Une découverte intéressante à plusieurs points de vue : atmosphère lyonnaise, intérêt de l’intrigue, rythme, rebondissements multiples et un personnage attachant, avisé et pugnace.
Une bonne pioche, et donc un certain plaisir de la retrouver dans « Les notes qui s’aiment ».
Chronologiquement, ce n’est pas la suite, mais plutôt un exorde. En effet, c’est dans cet opus que l’on
fait connaissance avec Lou, alors gradée lieutenant, lors de sa prise de poste à Lyon.
Elle n’aura pas le temps de prendre ses marques qu’une série de meurtres va mobiliser le groupe dont elle fait partie, dirigé « militairement » par le commissaire Baeza.
Les victimes ne semblent avoir aucun lien entre elles, les lieux et les mises en scènes des meurtres changent, mais l’arme étant la même, la seule certitude est d’avoir affaire à un tueur en série.
Et il ne laisse aucune trace derrière lui.
Il va falloir un petit coup de pouce familial à Lou pour orienter son enquête, vers la traque d’un tueur qui semble autant attiré par Mozart que par la vengeance. Elle devra pour y arriver, jouer sa propre partition, dans laquelle la moindre fausse note pourrait lui être fatale. Impliquée au point de payer très cher de sa personne, moralement et physiquement, ce sera elle ou lui.
Une balade dans Lyon originale, puisqu’elle se fait au fil des scènes de crimes, de l’opéra à la route de Vienne.
Un polar court, psychologique (perversion, manipulation, vengeance, séquestration) mais pas que.
C’est bien construit, soigneusement découpé, fluide et avec un bon suspense jusqu’au bout.
Un agréable moment de lecture.
Efficace
Lyon en livre, encore et toujours.
J’ai fait connaissance il y a quelques jours avec Lou Grimaud, capitaine de police en poste à Lyon, dans « L’amertume du pamplemousse », de Jean-pierre Chiron.
Une découverte intéressante à plusieurs points de vue : atmosphère lyonnaise, intérêt de l’intrigue, rythme, rebondissements multiples et un personnage attachant, avisé et pugnace.
Une bonne pioche, et donc un certain plaisir de la retrouver dans « Les notes qui s’aiment ».
Chronologiquement, ce n’est pas la suite, mais plutôt un exorde. En effet, c’est dans cet opus que l’on fait connaissance avec Lou, alors gradée lieutenant, lors de sa prise de poste à Lyon.
Elle n’aura pas le temps de prendre ses marques qu’une série de meurtres va mobiliser le groupe dont elle fait partie, dirigé « militairement » par le commissaire Baeza.
Les victimes ne semblent avoir aucun lien entre elles, les lieux et les mises en scènes des meurtres changent, mais l’arme étant la même, la seule certitude est d’avoir affaire à un tueur en série.
Et il ne laisse aucune trace derrière lui.
Il va falloir un petit coup de pouce familial à Lou pour orienter son enquête, vers la traque d’un tueur qui semble autant attiré par Mozart que par la vengeance. Elle devra pour y arriver, jouer sa propre partition, dans laquelle la moindre fausse note pourrait lui être fatale. Impliquée au point de payer très cher de sa personne, moralement et physiquement, ce sera elle ou lui.
Une balade dans Lyon originale, puisqu’elle se fait au fil des scènes de crimes, de l’opéra à la route de Vienne.
Un polar court, psychologique (perversion, manipulation, vengeance, séquestration) mais pas que.
C’est bien construit, soigneusement découpé, fluide et avec un bon suspense jusqu’au bout.
Un agréable moment de lecture.