Je ne suis pas fan de la couverture choisie mais le résumé me tentait un peu, je pensais lire une romance le temps d’un été, quelque chose de classique sans grande particularité qui pourrait la distinguer par rapport aux autres. J’ai eu une agréable surprise, passé les chapitres où on pense qu’Angeline n’est qu’une enfant gâtée, on rentre dans le vif du problème et on passe d’un chapitre à un autre sans s’en rendre compte. Lu en un jour, je voulais savoir la suite mais il manquait l’étincelle, le truc en plus pour un coup de cœur.
Angeline Beaumont a toujours
vécu une vie d’enfant privilégiée issue d’une classe aisée. Jusqu’à ce qu’elle accepte un mystérieux contrat de mariage telle une femme vénale avec Geoffrey Lancaster, un parfait inconnu, seul disposé à éponger les dettes de son père.
Acculée, Angeline accepte et se lance dans une relation digne de 50 nuances de Grey.
Sa rencontre avec Lancaster fait des étincelles. Arrogant, sûr de lui ayant le don de la mettre hors d’elle, leur relation passe du chaud au froid avec leurs forts caractères.
Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que sa Barbie est loin de se laisser faire et l’attaque à son propre piège.
Au jeu du chat et de la souris, qui remportera le contrat ?
Aidé de leurs amis respectifs, Barbie et Lancaster auront fort à faire s’ils veulent mener leur contrat à terme à moins qu’ils ne tombent réellement amoureux avant !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la vie avec Barbie s’annonce des plus mouvementées même si une question demeure :
Pourquoi Lancaster veut-il l’épouser ?
Au début, tout laisse à penser qu’Angeline alias Barbie est superficielle, genre enfant pourrie gâtée mais au fil des pages on s’aperçoit qu’elle a le sens du sacrifice et de la famille. Cela fait d’elle la femme parfaite pour Lancaster.
Barbie est prête à tout pour éviter que son père apprenne la vérité sur les dessous de son mariage et montre sa peur et sa culpabilité la rendant plus humaine, moins centré sur son physique de mannequin.
Lancaster ou le « connard arrogant » est quelqu’un d’apparence froide, sans sentiments en dehors de son amitié indéfectible pour ses amis Aïdan et Luc qu’il considère comme sa propre famille.
Quant à sa sœur Barbara, elle ne voie que par lui, s’accroche à lui telle un poulpe à son rocher… Elle veut protéger son frère de toutes les femmes qui n’en veulent qu’à son argent.
Barbie est donc sa cible, elle l’exaspère tout comme Barbara exaspère Barbie.
Les scènes entres elles tout comme entre Lancaster et Barbie rythment le récit, apportant ce que je recherche chez un futur couple. De même que les discussions entre filles amènent des situations cocasses ou les fous rires imprévisibles sont les bienvenus.
Les révélations sur leurs passés respectifs amènent la sensibilité, compassion et apportent des réponses aux questions que l’on se posent…
Dans l’ensemble, des personnages attachants aux personnalités complexes…
On a l’impression que Tara Jones s’est amusée sur cette série, les références sont nombreuses, le sujet et les personnages maîtrisés.
Entre le « connard arrogant » et Barbie qui va succomber le premier ?
Les paris sont lancés, qui va gagner ?
Une New-Romance plus complexe que ce que les apparences ne laissent entrevoir !
Je ne suis pas fan de la couverture choisie mais le résumé me tentait un peu, je pensais lire une romance le temps d’un été, quelque chose de classique sans grande particularité qui pourrait la distinguer par rapport aux autres. J’ai eu une agréable surprise, passé les chapitres où on pense qu’Angeline n’est qu’une enfant gâtée, on rentre dans le vif du problème et on passe d’un chapitre à un autre sans s’en rendre compte. Lu en un jour, je voulais savoir la suite mais il manquait l’étincelle, le truc en plus pour un coup de cœur.
Angeline Beaumont a toujours vécu une vie d’enfant privilégiée issue d’une classe aisée. Jusqu’à ce qu’elle accepte un mystérieux contrat de mariage telle une femme vénale avec Geoffrey Lancaster, un parfait inconnu, seul disposé à éponger les dettes de son père.
Acculée, Angeline accepte et se lance dans une relation digne de 50 nuances de Grey.
Sa rencontre avec Lancaster fait des étincelles. Arrogant, sûr de lui ayant le don de la mettre hors d’elle, leur relation passe du chaud au froid avec leurs forts caractères.
Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que sa Barbie est loin de se laisser faire et l’attaque à son propre piège.
Au jeu du chat et de la souris, qui remportera le contrat ?
Aidé de leurs amis respectifs, Barbie et Lancaster auront fort à faire s’ils veulent mener leur contrat à terme à moins qu’ils ne tombent réellement amoureux avant !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la vie avec Barbie s’annonce des plus mouvementées même si une question demeure :
Pourquoi Lancaster veut-il l’épouser ?
Au début, tout laisse à penser qu’Angeline alias Barbie est superficielle, genre enfant pourrie gâtée mais au fil des pages on s’aperçoit qu’elle a le sens du sacrifice et de la famille. Cela fait d’elle la femme parfaite pour Lancaster.
Barbie est prête à tout pour éviter que son père apprenne la vérité sur les dessous de son mariage et montre sa peur et sa culpabilité la rendant plus humaine, moins centré sur son physique de mannequin.
Lancaster ou le « connard arrogant » est quelqu’un d’apparence froide, sans sentiments en dehors de son amitié indéfectible pour ses amis Aïdan et Luc qu’il considère comme sa propre famille.
Quant à sa sœur Barbara, elle ne voie que par lui, s’accroche à lui telle un poulpe à son rocher… Elle veut protéger son frère de toutes les femmes qui n’en veulent qu’à son argent.
Barbie est donc sa cible, elle l’exaspère tout comme Barbara exaspère Barbie.
Les scènes entres elles tout comme entre Lancaster et Barbie rythment le récit, apportant ce que je recherche chez un futur couple. De même que les discussions entre filles amènent des situations cocasses ou les fous rires imprévisibles sont les bienvenus.
Les révélations sur leurs passés respectifs amènent la sensibilité, compassion et apportent des réponses aux questions que l’on se posent…
Dans l’ensemble, des personnages attachants aux personnalités complexes…
On a l’impression que Tara Jones s’est amusée sur cette série, les références sont nombreuses, le sujet et les personnages maîtrisés.
Entre le « connard arrogant » et Barbie qui va succomber le premier ?
Les paris sont lancés, qui va gagner ?