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On ne naît pas citoyen, on le devient, comme on devient un homme, au sein des systèmes entre perversion et persécution. C'est ce que tente de démontrer l'auteur, où le citoyen apparaît comme cet explorateur et cet intellectuel, observateur engagé de la chose publique et sociale du genre humain. L'auteur, après une approche de la citoyenneté en France, s'impose en défenseur du service public. Et interroge sur l'image et le rôle politique de l'éducateur.
Il propose un " face à face citoyen " pour en finir avec le régime de " la Terreur psychologique " qui sévit encore de nos jours, il invite à un véritable "plaidoyer pour une citoyenneté active", engagé il tente de démontrer en quoi " l'humanitaire " est bénéfique et utile pour l'individu et pour la collectivité. En quête de sens, l'auteur nous interpelle sur les réseaux d'influence, la Franc-maçonnerie dont les médias se font l'écho posant ainsi la question de la liberté d'association, serait-elle une liberté passée ou un espoir pour demain ? En conclusion, il exprime son " espérance en la citoyenneté pour être heureux malgré tout ".
Il dépeint avec une acuité visuelle rare le " vivre en société " des hommes parmi les institutions, qui les utilisent ou les servent. Sans complaisance, il analyse les discours qui ne sont pas toujours réalité. En avance sur les idées de son temps cet " agitateur de méninges " grâce à son esprit critique et sa perspicacité sur les choses de la vie, porte un regard très professionnel et lucide, sur la réalité des institutions et sur les êtres qui les animent.
