Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Parmi une myriade de grands auteurs dont l'œuvre compose le patrimoine culturel de l'Iran, Omar Khayyâm est l'un des plus populaires, en tout cas le...
Lire la suite
8,20 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 27 avril et le 30 avril
En librairie
Résumé
Parmi une myriade de grands auteurs dont l'œuvre compose le patrimoine culturel de l'Iran, Omar Khayyâm est l'un des plus populaires, en tout cas le poète persan le plus lu à travers le monde. Cette large audience, le sage de Nichâpour la doit d'abord au poète irlando-britannique Edward Fitzgerald, qui le premier, en 1859, en adaptant ingénieusement les Robâiyât en vers anglais, fut à l'origine de sa consécration en dehors de son pays natal. Elle tient ensuite au caractère toujours actuel et vivace des quatrains, dont maints aspects trouvent des échos dans la sensibilité de l'homme moderne. Cette édition, débarrassée de l'usuel cortège de vers apocryphes qui défigurent l'œuvre du poète, offre, d'après les manuscrits les plus anciens, une traduction neuve et originale en quatrains, qui transpose le rythme du texte original des Robâiyât. Une belle façon de redécouvrir et d'apprécier le rationalisme teinté de pessimisme de Khayyâm, son "indifférence à la foi et au doute" et ses vibrants appels au carpe diem.