Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Nous sommes immergés dans ce conte. Une reprise fabuleuse qui ajointe les morceaux. " Emportements définitifs ", écrit M.R. Qui lèse qui ? Quoi ?...
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Résumé
Nous sommes immergés dans ce conte. Une reprise fabuleuse qui ajointe les morceaux. " Emportements définitifs ", écrit M.R. Qui lèse qui ? Quoi ? Quel dol ? Il faut que nous commencions avec la mort comme dans les Mille et Une Nuits. Conter : parler : discourir pour éviter l'échéance : le sentiment de la ferveur. M.R. a lu les Télémaques : ce livre est un classique, on va vers des terres " imposées, découvertes du large ". Sans guide. Sans mentor. Autre que la voix narratrice, conteuse et le " sentiment de la perdition ". Qui écrit : " (je n'ai jamais pu déterminer l'arme du crime) " est dans la
justice du roman et de la littérature (et c'est une histoire de métaphore !) L'histoire est l'histoire d'une mise à l'écart d'un je, après quoi le moi est l'abîme que j'écris : j'expose aux yeux un " paysage
dévasté ", CE paysage dévasté où se cache un tueur : enfances encore, couloirs, fourrés, épines, sombres galeries, et dédales comme chez Joyce ou... Fénelon ! M. B.