Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Depuis quelques années, l'histoire du "trésor de Rennes-le-Château " déchaîne de nombreuses passions, à tous les niveaux du reste, de la compréhension...
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Résumé
" Depuis quelques années, l'histoire du "trésor de Rennes-le-Château " déchaîne de nombreuses passions, à tous les niveaux du reste, de la compréhension humaine !
Que peut bien être en réalité la nature de ce "trésor"', si trésor il y a ? Spirituel ou matériel ?
Les deux à la fois de toute évidence !
N'y a-t-il pas toujours une correspondance symbolique entre les divers plans de la conscience humaine, au-delà du mythe éternel du magot caché "...
Ces analogies assimilent l'histoire à la toponymie des lieux et à la pratique des " sciences de la nature occulte des causes ridiculisées de nos jours où l'on ne leur accorde même plus la crainte superstitieuse des "sciences maudites " !...
Les " trois grâces ", trilogie remarquable pour la compréhension de toutes choses, ont pour nome: Astrologie, Magie, Alchimie.
La légende du " Roi perdu " prend alors tout son sens dans cette région où le corbeau " d'en bas " rejoint celui "d'en haut : en effet, la constellation du Corbeau possède son reflet exact dans la toponymie du Razès. Les trois points correspondant aux trois étoiles de cette figure : Saint Julia-de-Bec, Serres et Granès sont suffisamment éloquents à cet égard sans que nous nous étendions davantage ici ! Le corbeau, c'est un rappel à Lug, lux = la lumière mais également à Brân, Brennus = le chef... attribué au " Roi " chez les Celtes !
On constate ici aisément que du corbeau à l'enfant-roi, il n'y a qu'un pas... "